La route du jeudi!
Pour débuter notre périple dans la Grosse Pomme – lire le Big Apple ou New York – Il y avait au programme un arrêt aux Woodbury Common Outlets. Selon le CAA, c’est la place!. Ces « Outlets » sont situés sur le chemin de New York, sur la route 87 à Central Valley.La première chose qui m’ait frappée, et de plein fouet, je dirais, c’est le nombre, disons assez énorme, de « magasineurs » provenant des pays du « Soleil-Levant » Je croyais que toute la famille, et même plus, de mon collègue Kim, qui n’a probablement jamais mis les pieds plus à l’Est que Québec, peut-être Charlevoix vu le Casino existant. Il y en avait partout et partout on entendait de l’anglais qui n’était pas vraiment de l’anglais mais autre chose qu’on ne doit pas lire dans le même sens que les langues de Molière ou Shakespeare. Pire que cela, à un moment donné, nous avons entendu quelque chose dans les haut-parleurs qui sonnaient aussi asiatique que ce que l’on entendait dans les conversations auparavant. Peut-être a-t-on manqué un spécial particulier dans une boutique particulière qu’on n’aurait même pas visité de toute façon! On ne le saura jamais. Bon, nous avons quand même consommé quelques trucs dont je ne ferai pas la nomenclature pour différentes raisons. La madame et le monsieur étaient bien contents!
Ce n’est pas tout cela. Fallait par la suite continuer notre « ride » jusqu’à notre hôtel qu’on avait sélectionné dans Staten Island. Oui, vous avez bien lu, Staten Island! L’Ile où un paquet de résidents vivent dans les séries newyorkaises ou films du même acabit. L’ile de laquelle un paquet de monde arrive via un ferry à tous les jours sur l’ile de Manhattan pour le boulot. Tout s’est bien passé pour s’y rendre mis à part une légère congestion sur la 17 entre la 87 et la 95. Ça fera maintenant pour la numérologie! Le Holiday Inn Express de West Staten Island fut finalement parfait.
Vendredi en ville
Notre premier défi de la journée s’est présenté à nous très tôt dans la journée puisque nous devions nous rendre à Central Park comme première destination. Pour y arriver, il y avait le stationnement du ferry à trouver, le ferry à prendre, la bonne ligne de métro à trouver et la prière à faire pour se retrouver au bon endroit.
Il y avait bien une navette offerte par l’hôtel pour se
rendre au ferry mais les heures ne nous convenaient pas, nous avons donc pris
le véhicule moteur que Marilou a baptisé Pitchounette mais dont je ne suis pas
encore tout à fait en accord avec l’idée. Comme ce n’est pas l’idée de ces
écrits pour le moment, j’y reviendrai. J’ai donc ressorti Charlotte alias le
GPS et lui ai rentré l’adresse à atteindre dans le moulin. Elle m’a dit :
environ 23 minutes. Nous sommes partis à la recherche du bonheur… Newyorkais.
On a finalement trouvé le stationnement après 35 minutes, mais rien à redire à
ce sujet. Après tout, on doit encore utiliser Charlotte prochainement et je ne
voudrais surtout pas la heurter. Dans le stationnement, il y avait une
gracieuse navette offerte pour se rendre au ferry. Facile! Une petite marche et
nous étions confortablement assis du bon côté du ferry, prêts à prendre
quelques portraits de la « Liberty Statue ». Le départ s’est
pratiquement fait instantanément. On a pris nos portraits de la Dame.
Quelques-uns, en fait.
Nous avons repris le métro de l’autre côté du parc pour redescendre un peu pour déguster un lunch des plus exquis à « Eataly ». Cette place est conçu comme un marché mais en plein cœur de NY – on me dit à l’oreille que c’est un montréalais qui a fait cela – dans lequel on peut retrouver divers marchands de boustifailles, genre pas trop bonnes pour la santé mais si intéressantes pour le palais d’épicuriens tels que moi, genre! De plus, à certaines places, on peut manger le tout « live ». Dans le milieu de la place, il y avait des genres de comptoirs où on pouvait s’installer debout aussitôt qu’un trou se créait dans la foule de consommateurs. La guerre, man, c’est pas une raison pour se faire mal qui disait dans « La guerre des tuques ». On ne s’est pas fait mal du tout, même que l’assiette de fromages et de charcuterie qui a accompagné nos verres de vin fut tout simplement excellente. Hum, on aime ça du bon manger!!!
Après s’être sustenté comme des rois – est-ce que ça paraît
que les « LA Kings » sont mon équipe de remplacement pour les séries
– nous nous sommes dirigés vers la prochaine destination que Chantal avait
savamment déniché soit Chelsea Market. Ce marché, constitué de différentes
boutiques fut originalement installé dans les restants d’une usine qui
fabriquait des « Oreos » L’environnement de cette ancienne usine
donne beaucoup de charme à l’endroit. De plus, ce qu’on peut y trouver est
aussi très original. Disons un éventail de la boutique
« Archéologie » oui en français, en passant par de sympathiques
« pop cakes » jusqu’à la boutique « Artists and Flea ». Pas
besoin de vous dire que Chantal s’est éclaté telle une enfant dans une boutique
de jouets! En sortant de là, nous étions
à deux pas ou presque du « High Line ». Une ancienne ligne de train
surélevée transformée en esplanade qui nous a permis de faire une balade dans
un genre que je n’avais jamais vu auparavant. OK, je sais que je suis jeune
encore mais quand même! Très original et aussi très familial. Dommage que
Marilou n’y était pas! Elle aurait adoré. À chaque tournant, nous pouvions
découvrir un nouveau style aussi inattendu qu’intéressant. Définitivement à
revoir… bientôt!
Je suis en train de travailler le samedi, le dimanche ainsi que notre voyage de retour d’aujourd’hui.
@+
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