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Des fois, vaut mieux l'écrire que de le subir. Confucius

dimanche 29 juillet 2007

Après 789 472 secondes ou 13158 minutes ou 219 heures et demie (pour être plus précis dans le temps en l'étant moins numériquement, je devrais plutôt utiliser une semaine plus les fins de semaine adjacentes mais comme ça fait moins "hot"...), voici que prennent fin mes premières vacances de travailleur syndiqué du secteur public. J'ai aussi travaillé dans ledit secteur vers la fin des années 80 mais comme je n'ai pas eu le privilège d'avoir l'étiquette "syndiqué", ça ne compte tout simplement pas dans le livre des records dans le sens anglophobe du terme qui se range plus dans la catégorie statistiques qu'exploit individuel.

Tout ça pour dire que c'est vite passé une semaine! Surtout avec une 4 ans à occuper constamment. Je me demande dans mon moi-même s'il n'y aurait pas une clause dans ma convention qui me permettrait d'avoir quelques jours pour me reposer de mes vacances? Que les jaloux se retiennent de dire des choses semblables à: "tu n'as qu'à retourner au bureau et t'y reposer!" Au bureau, on ne se repose pas, on travaille! Il y a des "travail" plus fatiguant que d'autres me direz-vous mais dans la vie comme au hockey, un peu de Quick et l'affaire est Ketchup disait un grand artisan des mots québecois dont je ne me souviens plus du nom. Et ce n'est surtout pas parce que j'aime pleinement mon travail que cette phrase de jaloux pourrait s'appliquer plus. Fin de cette discussion qui n'en était même pas une, finalement!

Pour en revenir à notre balade du jour, elle s'est effectuée dans le 450 du nord, plus précisément sur l'ile de msieur Vaillancourt lui-même que nous n'avons malheureusement pas rencontré lors de cette visite au Centre de la Nature de Laval. Une valeur sure! Pleins de sentiers, de l'eau, un espace de jeux, une petite ferme avec en prime un petit train qui, pour la modique somme de... je ne sais pas vraiment, fait le tour du site avec un cheminot sympathique qui se charge de faire la description de ce qu'il voit de façon je dirais, sympathique! Marilou était folle de joie de pouvoir courir et s'enfarger un peu partout parce qu'elle regarde partout sauf où elle va quand elle court, marche, mange ou peu importe l'activité. Elle a aussi pu glisser dans des glissoires brulantes (ou toboggans de plus en plus utilisé dans les traductions d'émissions télévisées mais que je ne m'habitue pas à utiliser pour ma part et que ma filleme rappelle à l'occasion) à cause de Galarneau qui nous plombait cela comme seul lui sait le faire. Parlant de Galarneau, je me dis que la situation doit être assez dangereuse dans les bois dans ce temps-ci même si je n'ai pas vérifié les nouvelles depuis quelques jours parce que depuis le début de mes vacances, nous avons eu de la pluie seulement un peu hier...voilà pour ma parenthèse écologico-social du jour.

Demain, c'est donc le retour pour moi! On m'a dit qu'un cours m'attend demain matin à Montréal mais que je pars en après-midi pour l'outaouais. Mardi, les bébés d'Hull (dommage, on ne l'utilise plus celle-là!) et mercredi Laval, je termine dans le 514 jeudi et vendredi.

Ma blonde a toutefois encore une semaine de vacances. Et pour ce qui est de Marilou, il ne lui en reste que deux avant de retourner voir Ginette, Félicia, Zoélia, Lyli, Florence, Manuel, Vincent et Jonathan à la garderie... Elle en parle déjà! Je songe sérieusement à faire une demande pour faire graduer Ginette à l'école où elle ira dès l'an prochain pour la suivre mais cela, c'est une autre histoire dont je ne veux pas parler immédiatement, ça viendra bien assez vite!

@+ la gang!

Alain

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