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Des fois, vaut mieux l'écrire que de le subir. Confucius

lundi 17 décembre 2007

Dure journée de décembre

C’est l’histoire d’un gars qui détestait l’hiver et la déteste encore, soit dit en passant.

Début novembre 2007

Les cadeaux sont achetés pour cette année et il ne reste plus qu’à attendre l’arrivée de la Noël dans la joie et l’allégresse! Yé , je suis content en joualvert…

Nous avons aussi eu dans la boite aux lettres une publicité de déneigement. Je décide de l’appeler juste pour voir. Je parle au gars et il semble OK. Ma blonde a des doutes mais son prix semble bon et il a l’air honnête. Comme je voyagerai cet hiver, je ne veux surtout pas que Chantal se retrouve prise à ne pas pouvoir sortir de la place si je dois m’absenter lors d’une tempête. De toute façon, on a le temps si on se souvient de l’an passé, hein? Nous décidons donc de se payer une gâterie et de l’essayer.

16 décembre 2007

On n’est pas encore rendu à la joyeuse et très sainte Noël que nous avons déjà eu deux bordées de plus de trente centimètres sur la tête plus quelques autres dite mineures. Heureusement que nous avons pris un contrat de neige. Hier, alors que la tempête faisait rage, je me suis dit : « Tiens, je vais amener la ptite dehors et enlever un peu de neige, ça va donner une chance au gars. » Nous bravons donc ladite tempête courage dans une main et pelle dans l’autre. La ptite adore faire des tours de pelle, surtout quand elle est pleine… de neige! À l’heure du souper, comme le gars n’est pas encore passé ni la gratte de la ville d’ailleurs, je décide de l’appeler question de voir…

- Salut, c’est Alain sur Papineau, lui dis-je d’un ton très enjoué.
- Euh, salut…
- Je me demandais si tu passerais aujourd’hui, toujours avec le même air enjoué.
- Ben là, je me disais que j’étais mieux d’attendre que ça finisse et de le faire seulement une fois.
- OK, je te fais confiance dans ton évaluation de la chose mais tu m’assures que tu seras passé avant mon départ demain matin.
- Oui sans problème, S’il le faut, je travaillerai toute la nuitte.

Il y a donc de l’espoir. La situation me préoccupe un peu parce lors de la précédente tempête, notre ami a vacillé quelque peu et n’a pas fait le travail comme je l’aurais souhaité. Question d’ajustements que je me dis. Il pourra se reprendre. Toujours est-il que je pars pour Gatineau le lundi dans la journée et que je voudrais bien que le tout soit « clairée » pour ne pas que Chantal soit pognée avec le mess.

Un peu plus tard, je vérifie dans la rue et réalise que, au moins, on a eu des nouvelles de nos magnifiques et valeureux cols bleus qui se sont finalement manifestés. Bon, au moins ça de pris, ils n’ont pas décidé de faire un genre de grève de protestation contre l’extinction des maringouins à cause des températures froides imposés à ceux-ci cette année. Je m’en vais donc au dodo avec un drôle d’impression, un genre de goût amer comme qui dirait dans les meilleurs livres de chez Renaud-Bray. Vaut mieux ne pas trop y penser et profiter de Morphée pis de toute sa gang d’ensommeillés parce les dernières nuits furent quelque peu mouvementées ici en raison de la toux de quelques membres de notre très distinguée famille royale. Un sirop miracle semble toutefois agir avec une efficacité légendaire auprès de Sa très sainte majesté la princesse Marilou 1re ce soir.

17 décembre 2007

Vers 05h30, Marilou tousse un peu. Maman se lève et va au sirop. Tout devrait bien aller, n’est-ce pas? Papa n’arrive toutefois pas à se rendormir. Quelle est cette idée qui le tenaille? Il décide de se lever et d’aller voir si le gars est passé pour pelleter. Ça pouvait bien le chicoter parce que le gars n’a pas donné signe de vie. Oh shiit! Changement de programme. Le papa devra donc tenter de se faire un chemin pour réussir à passer le véhicule moteur au travers le banc de neige que m’a laissé au passage le fameux col bleu hier soir au volant de sa magnifique gratte qui a les deux pneus d’en avant tout croche et qui se fait un malin plaisir, j’en suis certain, à laisser sa trace ainsi sur son passage. À ce moment, je ne suis déjà pas très content de la situation mais je tente de me retenir un peu en me rappelant que la pelle peut être un ennemi mortel pour un gars en santé comme moi. Après un moment, je suis un peu essouflé mais ça devrait aller. Au moment où je m’y attends le moins toutefois, après un ptit extra que je donne sur la pelle, il y a comme un petit claquement, pas grand-chose, mais juste assez pour ressentir un pincement. Pas au cœur là! Dans le bas du dos sur la gauche. Bof, que je me dis! Ça devrait passer. À force de travail et de persévérance, j’arrive finalement à me faire un chemin jusqu’à la rue. Je me dis que, de toute façon, le gars devrait passer et finir la job éventuellement. Mon dos me fait un peu mal, mais bon. La job est faite.


Un bon ptit déjeuner constitué d’un jus d’orange et de mes deux toasts au Cheez Whiz et je devrais être sur le piton comme on dit. Je suis toujours un peu fâché après le gars par zemple et je commence à manquer de temps. La ptite est super de bonne humeur et me raconte tout ce qui s’est passé durant sa nuit. C’est quand même incroyable ce qui peut se passer dans cette petite tête là durant une nuit où elle dort. En sortant mes toasts du grille-pain et en tentant d’atteindre le pot de Cheez Whiz en même temps, je m’accroche dans le sirop magique à la gomme balloune de Marilou qui l’a fait si bien dormir. Et c’est soudainement parti! Je le rattrape partiellement mais il rebondit tout de même juste sur le rebord du lavabo pour réussir à éviter ma main gauche qui venait de relâcher le fameux pot de Cheez Whiz, pour se retrouver directement sur le sol de céramique et se détruire en mille morceaux et se répandre un peu partout dans la cuisine autour de mon pied gauche, incapable de faire quoique ce soit pour contrer sa chute. Ça pue de la gomme balloune, hein? On ramasse le tout, mes toasts refroidissent dangereusement et le Cheez Whiz est toujours dans le pot qui lui, n’a pas bronché suite à sa chute sur le comptoir, heureusement. Marilou pose alors mille questions supplémentaires, Chantal tente de se fondre dans le décor parce que son chum n’est à ce moment, plus du monde. Tout ça à cause du gars qui ne s’est pas pointé! Il a d’affaire à me faire une belle job.

Bon, trève de plaisanterie, nous devons partir pour le bureau. On sort de l’entrée sans aucun problème parce que la job partielle fut très bien faite. Je dépose Chantal au métro, ce sera plus simple de même pour aujourd’hui. Je laisse Marilou chez sa gardienne et je poursuis ma route dans ce gâchis qu’est la rue Papineau ce matin. J’ai mal au dos moi là! J’arrive au bureau et je fais mes petites affaires avant de repartir pour Gatineau. Ma collègue Denise me donne toutefois une sorte de drogue pour tenter de calmer mon dos. J’espère ne pas avoir à remplir un petit pot pour des tests antidopage entre temps par contre.

La grand route comme disait nos ailleuls me rend à la fois heureux et nostalgique à la fois. Heureux parce qu’elle me semble pas mal mieux dégagée que pouvait l’être notre circuit urbain. Faut dire que c’était facile à battre! Et nostalgique parce que, rendu à Gatineau, je devrai affronter une séance de magasinage forcée à ce temps-ci de l’année. Comme le monde est plutôt dingue dans ce temps-ci dans les magasins, je préfère éviter de m’y trouver. La semaine dernière, on m’a toutefois appris que je devrais y retourner bien malgré moi. On vient de décider qu’il y aurait un échange de cadeaux au bureau. WOW! Le party aura lieu ce jeudi et le thème pour l’échange est : Ben, il n’y en a pas alors c’est le « free for all » dans ma tête. Dans le email c’était écrit que ça prend un cadeau de 15$ unisexe. Quelqu’un a déjà entendu parler du livre traitant des femmes venant de Mars et les hommes d’Uranus ou je ne sais trop quelle province.


C’est impossible un cadeau unisexe. Il y a de fortes chances que je me retrouve avec un truc avec des chandelles que je vais m’empresser de refiler à ma blonde qui adorera soit dit en passant parce qu’elle est une fille et que pour moi, les chandelles c’est fait pour chercher dans le fond d’un tiroir au moment où le courant lâche en plein match Canadiens-Boston et que c’est 2-2 avec 3 minutes à faire au match. Il n’y a pas moyen de les retrouver et un coup que c’est fait, ça ne me ramène pas la tivi pour voir la fin du match. Bon enfin, je vais tenter de trouver un truc de chandelles pour jeudi dans le centre d’achat en face de l’hotel où je loge ce soir mais ça me rend quand même quelque peu nostalgique et je suis toujours un peu enragé après le gars du déneigement. Avant de partir, j’ai aussi eu une conversation avec ma blonde qui m’a fait comprendre très logiquement que je devrais commencer à regarder pour une souffleuse. Oui oui, l’affaire qui pitch de la neige dans les airs! Le plus drôle c’est que je ne l’ai pas vraiment obstiné. Je dois me faire vieux… un peu. Pas trop par zemple puisque je ne vieillirai qu’après Noël. Je suis encore jeune et je peux me taper sans problème une petite séance de pelletage mais Diantre de Ventre-St-Gré comme le disait si bien mon frère… que j’ai mal dans le dos. Elle a peut-être raison, je regarderai donc pour une souffleuse et je la ramènerai avec moi au village. L’état de la route s’améliore sensiblement à mesure que je progresse sur la magnifique 417. Il n’y a vraiment rien sur cette route!

Après avoir déposé mon nécessaire de cours ainsi que mes effets personnels dans ma chambre, je file vers les magasins que je peux trouver non loin de là! Un Wal-Mart! Excellent, il y a de tout dans ce magasin. Tout, sauf des souffleuses car elles sont en rupture de stock (RS). Qui a inventé cette expression? On a cassé le matériel, quoi! Toujours est-il qu’ils n’en ont plus. Même chose chez Home Depot. Ils en attendent demain. Je reviendrai… peut-être! Je me risque chez mon préféré, Canadian Tire! Pas de chance, après avoir demandé à trois personnes où les trouver j’y arrive mais sans succès puisqu’il ne semble plus y en avoir à part un gentil petit machin électrique qui devrait ne pas se rendre à Noël, selon mon estimation. Rien d’autres en vue pour trouver l’article tant convoité, je me tourne donc vers le défi du cadeau unisexe!


J’arpente donc le mail à la recherche d’un de ces kiosques qui poussent subitement au temps des fêtes au milieu des allées déjà trop encombrées et où on peut retrouver une multitude d’objets inutiles aux alentours de 15$. Je n’en vois pas et la panique commence à s’emparer de ma personne. J’aperçois une boutique « Clair de Lune ». Me semble que quelqu’un m’avait dit que je pourrais trouver quelque chose de pas pire là-dedans. Je me précipite donc. Batinsse, c’est plein de chandelles aromatisées et même à la gomme balloune. Non, ça m’évoque un mauvais souvenir du matin. Je poursuis donc cette recherche pour enfin tomber sur quelque chose d’intéressant que je ne dévoilerai pas puisque quelques-uns des lecteurs assidus de cette chronique font partie de l’échange! Dommage, hein? En résumé, disons que c’est correct comme cadeau et évidemment c’est un peu plus de 15$. J’ai même trouvé le kiosque d’emballage au profit de la Sclérose en plaques. Cadeau emballé et trouvé et bonne cause encouragée! Mais quelle journée finalement.

DERNIÈRE HEURE - DERNIÈRE HEURE - DERNIÈRE HEURE -

J’apprends à l’instant que mon gars de déneigement a déclaré forfait pour la saison. Quelle surprise! Il est supposé nous rembourser. J’ai un peu plus mal dans le dos et je réalise que ça me prend définitivement une souffleuse!

C’était Alain, directement de Gatineau tout près de chez matante Carole qui débarquera seulement demain au village et que je manquerai par le fait même! Je devrais prendre une pause lors de ce joyeux temps des fêtes et vous revenir en très grande forme et rempli de résolutions pour la nouvelle année 2008 qui s’en vient!


Donc :

Joyeux Noël!
Bonne fête Alain!
Bonne fête des saints innocents!
Bonne St-Sylvestre!
Bonne Année!
Ainsi qu’une excellente fête des Rois!

Alain

lundi 10 décembre 2007

À l'approche du joyeux temps des fêtes



Le petit papa Noël

Bon, je pense avoir perdu mon titre! Après avoir été visité le Père Noël hier en compagnie de ma fille, ma blonde ainsi que de tous les employés de la « shop » qui ont des enfants ou s’en sont trouvés pour l’occasion, ma fille est revenue enchantée! « Il est beau, hein papa? » qu’elle me dit.
Et moi de lui répondre :

- Ouin, mais il ne travaille qu’une journée par année, je me demande si c’est vraiment rentable!


Elle n’a vraiment que faire de ces questions financières et futiles. Il a été vraiment gentil qu’elle me dit. De plus, comble de malheur pour moi, l’organisation avait préparé de gentils petits « stickers », dont un au nom de ma fille! Imaginez un peu, en approchant de lui, il s’est exclamé : Bonjour Marilou Balleux! Il l’a appelé par son nom. WOW et REWOW! C’est gagné! En tout cas, pour cette année, le travail est fait pour le vieux rouge. Reste à voir s’il réussira à gagner de nouveau son cœur l’an prochain.

Le sapin

Samedi après-midi, après la liste de « faucons » prévus à l’horaire normal (pour les non-initiés, on parle ici des tâches ménagères et autres trucs plates à faire la fin de semaine comme par exemple, faut qu’on aille faire l’épicerie, etc.), il y avait aussi la liste des « faucons » du temps des fêtes à terminer. Mis à part les achats de cadeaux qui sont, Dieu merci, terminés depuis un bon mois et demi, le montage du sapin de Noël! Une plage horaire s’était donc dressée devant moi, libre comme toute, je ne sais trop par quel hasard, probablement très bien planifiée par ma blonde et ma 4 ans. Donc, pas le choix. À go, on part! Nous nous dirigeâmes donc à toute allure à bord du véhicule moteur vers le Canadian Tire pour choisir le sapin. Un naturel, c’est plusse beau! Une note en passant pour vous préciser que le choix du Canadian Tire n’est surement pas pour la qualité de leurs conseillers puisque… je vous en reparlerai bien à un moment donné. L’idée est surtout « géographique ». C’est juste à côté et ça diminue donc les risques d’échappée lors du transport comme lors d’une montée à l’emporte-pièce de Ryder qui se termine en queue de poisson parce qu’il a échappé le puck juste avant de rentrer dedans la zone payante comme dirait, ma parole, notre ami Pierre! Le choix dudit sapin n’est pas facile. Ça discute ferme. Ma fille en voudrait un qui devrait faire la circonférence du salon au complet, ma blonde par contre, dans sa grande sagesse plaide un magnifique spécimen d’un peu moins de 6 pieds (pour les plus jeunes, ça signifie un peu moins de 2 mètres je pense). J’interviens donc en faveur de ma blonde, toujours question de transport. Est-ce que je vous ai déjà parlé de Ryder? Nous repartons donc dans la joie et toujours dans le véhicule moteur pour la maison en n’oubliant pas au passage de ramasser ce délicieux élixir qu’on appelle un bon « Tim » pour s’aider dans la tâche qui nous attend. Marilou tape du pied dans le char pendant ce temps.

Ça fait que… on arrive à maison, comprends-tu! Je débarque le sapin, on commence à sortir les « gréments ». Où est donc ce foutu pied de sapin. Vous savez, le machin qu’on s’évertue à tenter d’assembler et de fixer au CR… de sapin à tous les ans. Pas dans le garage, pas avec les gréments, pas nulle part, peut-être avec la vaisselle, qui sait? Je réfléchis, Chantal itoo, Marilou, quant à elle, tape toujours du pied. De que cé que j’ai ben pu faire avec ce cossin là, l’an dernier? Remonter dans ma mémoire comme cela, c’est un peu comme monter plus haut que l’Abitibi en plein hiver. C’est extrêmement dur de se souvenir et on ne sait jamais ce qui va ressortir du prochain virage. Soudainement un flash! Maintenant que j’y pense plus à fond, je me souviens avoir eu tellement de misère même à l’enlever du sapin l’an dernier que je crois, sans en être convaincu toutefois, que j’ai « pitché » le sapin dans la rue pour le ramassage avec le pied encore dessus. Pas certain encore toutefois. Et je me demande tout à coup comment ils recyclent cela le métal? Que de questionnements encore. Je suis certain que mon frangin a probablement une réponse de consultant pour moi à ce sujet.

Bon, je retourne donc chez CT. Plus le choix maintenant. Le temps presse parce que je quitte un peu plus tard pour ma sortie propre avec mon père pour le Centre Bell. Je vais y arriver. Et c’est à nouveau l’aventure avec mes amis de Canadian Tire.
- Salut, je cherche un pied de sapin.
- Un pied de sapin?
- Ben oui, tu sais, une affaire qu’on fixe à la base d’un sapin pour qui tienne debout sans tomber? Toi, tu en as deux! Lui, il n’en a besoin que d’un!
- Ah! Un support?
- OK, appelles-le comme tu voudras, c’est où?
- Euh… Rangée 23?
- Non non mon grand, tu viens avec moi. Comme cela, rendu à la rangée 23, tu figureras toi-même… Mets-le-moi dans les mains!
- Ben là, c’est pas mon département.
- Je t’annonce officiellement que ça vient de le devenir. J’en ai une qui tape du pied et l’appel du houblon me travaille déjà beaucoup.

Il ne comprend pas tellement et par sa déroute, je réalise qu’il abandonne la bataille départementale et m’accompagne donc jusqu’à la rangée 23. Heureusement d’ailleurs puisque les supports comme qui dit, n’y étaient pas.

- Ben je comprends pas… c’est pas de ma faute!
- Peut-être mais trouve-les! C’est assez simple comme solution.

Je crois qu’il m’a compris car il les a finalement trouvés… ailleurs. Je crois aussi avoir changé sa vie pour de bon! Enfin, je l’espère. Je pense que si je lui avais dit que je partais une secte, il embarquait. Nous étions maintenant les meilleurs potes du monde. Un peu plus et il payait pour moi. C’est ben pour dire! Je rme etrouve donc à la course mon char dans le stationnement … tout près de la maison. J’y retourne. J’installe le tout sur le sapin. C’est déjà plus simple que l’an dernier. Faudrait que je pense de pas le jeter celui-là! Je monte le tout en haut. La ptite trépigne de joie! On installe les lumières, les tites boules et les plus grosses ainsi que les glaçons. En fait, Marilou s’en charge merveilleusement bien! Pas nécessairement balancé mais c’est cute! De toute façon, qui a dit qu’un sapin de noël devait être balancé. Pas moi, en tout cas!

En résumé, très belle job! Surtout de notre designer Marilou!

Le Centre Bell et nos Glorieux!!!

Après cette tâche, une autre, beaucoup moins glorieuse côté design je dois l’admettre, m’attendait! En compagnie de mon paternel, nous avions rendez-vous avec la gang de cruche faisant partie de la très sainte organisation de nos glorieux pour le match du samedi soir au Centre Bell que j’appelle toujours, soit le forum ou le Centre Molson. Que voulez-vous, j’ai de la misère avec certains changements. Papa et moi étions pleins de bonne volonté et remplis de joie à l’idée de cette sortie propre père et fils. Dans la zone Molson Ex, l’ambiance fut excellente, malgré l’amère défaite. En fait, on s’est fait planter en langage hockey. Complètement déclassé! Mais après quelques bières à 9,50$, même la pire des défaites paraît moins pire! Une bien belle soirée!

Sur la route de la 20

Je suis aussi allé virer à Québec la semaine dernière. Que dire de ce passage à vide dans la vieille Capitale? Pas grand-chose. Les gens sont charmants mais pas vite au volant! Il y faisait assez froid. Bon résumé. Ah oui! J’ai rencontré quelqu’un que je n’avais jamais vu auparavant mais dont j’avais beaucoup entendu parler avant sur la 20 en m’en allant à la hauteur de Madrid. Pas la ville de l’Espagne mais le célèbre resto sur le bord de la 20 où il a des grosses roues de truck et des dinosaures déjà morts! Je n’y étais jamais arrêté et je sais maintenant pourquoi!

Pour terminer, je dois aussi vous avouer qu’à mon retour du Centre Bell samedi soir, le sapin du salon était canté un peu, en fait vraiment accoté sur le coin du mur! Mon beau sapin, roi du salon, que j’aime ta canture… Je pense qu’il y a une erreur au niveau des paroles mais la réalité était bel et bien là devant moi et il me semble qu’il me souriait l’enfant de ch…

Oh! Vive le vent, vive le vent d'hiver…

Alain