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Des fois, vaut mieux l'écrire que de le subir. Confucius

vendredi 27 juin 2008

Balles et murs blancs

Le calme avant la tempête

Aujourd’hui, jour de congé, je suis donc retourné un peu dans le nord pour aller courir après un tite balle blanche pendant 4-5 heures. Après Tremblant le jour de notre fête Nationale, j’en ai profité pour me reposer un peu aujourd’hui à St-Jérôme. Pour se joindre à notre ti-couple habituel de tous les deux vendredis avec mon beau-père, mon chum Mike qui ne fait pas de Pizza mais plutôt de la consultation lors de ses temps libres s’était joint à nous.

Lors de notre dernier match-play l’an dernier, vous vous souviendrez probablement qu’à la toute fin de la ronde, notre ami Michel qui est aussi conjoint de fait même pas marié avec Colette, elle-même la fille de Réjeanne de Verchères qui prend des marches avec la non moins célèbre mère du soussigné, avait comme qui dirait « choké ». Je ne l’avais pas remarqué mais je crois que l’ami Michel l’avait encore sur le coeur. C’est la première chose qu’il m’a mentionné à mon arrivée sur les lieux. Après 9 trous, il menait par un coup. Ça ressemblait pas mal à notre dernier rendez-vous. Michel est par contre dans sa bulle. Il « focus » comme le disent nos plus grands sportifs. Je démarre le second neuf sur les chapeaux de roues. Quelqu’un peut me dire c’est quoi au juste un chapeau de roue? Ça ne doit pas bien rouler en tout cas considérant mon score après les 4 premiers trous du second 9. Bref, je n’ai jamais réussi à le rejoindre. Il avait un sourire radieux, béat même.

Bravo Michel! Je suis certain que toute la classe tékairienne je joint à moi pour te féliciter pour ton exploit du jour. Si j’avais un portrait de ta binette, j’en profiterai pour faire un montage dedans un beau ti-cadre quétaine avec une mention « Employé du mois »direct en dessous et je l’afficherais aussi sur mon blog comme on peut en voir si souvent dans les chaînes de restauration rapide que je fréquente pratiquement jamais.

L’épreuve

Demain et probablement pour quelques jours, je m’attaque à la rénovation d’une salle de bains. En fait, c’est juste une restauration de douche. Rien de ben grave mais comme je ne sais pas vraiment à quoi m’attendre, je préfère me donner un petit « buffer ». De toute façon, je vous en reparlerai certainement. J’ai même pris congé lundi. En cas. Ce n’est pas vrai, je n’avais pas pris congé pour cette raison mais j’ai bien fait, on ne sait jamais.

Je vous souhaite donc une très belle fin de semaine de la demie-année ou des déménagements.

Bye là,

Alain

jeudi 26 juin 2008

Sundin ou Scrapbookin'

Quelques idées me trottinaient dans la tête et comme le dit si bien le citoyen ordinaire comme se plaît à l'interpeller un célèbre chroniqueur de la presse écrite qui n'est presque pas lu, fallait que j'en parle pour ne pas faire de boutons ou pire encore pour ne pas que mon "Je" ne tombe pas dans l'oubli. Ce serait probablement effroyable ou même irrécupérable. Il a besoin d'attention ce fameux "Je". Il est comme cela!

Le mobilier

Dans les soucis qui se bousculent à la sortie de mon "mental", il y a entre autres choses le fait de savoir que Bob discute présentement de vive voix, peut-être pas si vive que cela mais enfin, avec un ancien ennemi qui risque de devenir un allié ou de demeurer un ennemi mais provenant d'ailleurs mais pas de la Suède puisqu'il sévirait probablement à titre d'habitant de la grosse pomme si tel était le cas. Son nom c'est Sundin, sa couleur, plutôt bleue depuis des lustres! On aimerait qu'il y ajoute un peu de rouge, ça ferait plus "habitant", point à la ligne! Déménagera-t-il le 1er juillet comme de nombreuses personnes considérées comme étant elles aussi, des citoyens ordinaires tel que décrit un peu plus haut dans l'alinéa. Et s'il déménage, vers où le clan Panneton devra-t-il le mener lui et ses nombreux effets personnels? La question demeure. Nous en saurons plus, seulement après le 1er juillet. L'année dernière, on visait Brière pour pas mal trop cher et on s'est retrouvé avec Smolinski qui n'a pas de prix. Cette année, après Tanguay, pas les meubles, on vise la Suède, j'ai dit pas les meubles, mais qu'est-ce qu'on aura? J'ai pleinement confiance en Bob pour dénouer la situation. En attendant, moi je me dis, j'espère que Bob a un bon plan d'interurbain parce que ça doit lui coûter une "beurrée".

L'activité

Dans un autre ordre d'idées, comme j'ai eu un scoop et que je ne peux pas vraiment en parler vu que ce n'est pas encore officiel, j'ai décidé de vous titiller un peu en laissant filtrer quelques éléments de l'affaire. Ne le dites surtout pas à personne. Si vous le faites, je nierai tout! Toujours est-il que j'ai entendu au travers des branches qu'il y aura du nouveau dans le domaine du "scrapbooking" au Québec. Ce sera "big"! Et surtout unique. Comme le projet est en construction, je ne peux malheureusement pas en dire beaucoup plus mais comme on dit dans les meilleures publicités, surveillez le WEB les filles, vous ne pourrez le manquer. Évidemment, je dois taire mes sources, alors aucune question sur le sujet aussi! OK?

Bon, il s'en trouvera certainement quelques membres de la gente masculine pour décrier un scoop semblable mais que voulez-vous, comme le disait si "sympathiquement" un ancien premier ministre d'une contrée pas si lointaine que cela. Les filles c'est les filles et comme certaines d'entre elles ont aussi le courage de me lire, je me dois en mon âme et conscience de traiter de sujets différents du gouret et du palet à l'occasion. Ça doit être cela la culture. C'est important de démontrer une certaine ouverture d'esprit dans ses propos. De cette façon, si je suis paraphrasé dans quelques siècles, les historiens qui le feront pourront dire que j'étais de mon temps. Fin de la citation.

Comme tout le monde pourra facilement le constater, on voit que je ne me déplace pas beaucoup par les temps qui courent. Au lieu des destinations exotiques, je dois donc me rabattre sur des grands débats philosophiques. Faut que quelqu'un le fasse. Si je ne le fais pas, qui le fera? Gilles Proulx? Ben non, il doit être en vacances. Jean-Luc mongrain? Ben non, il n'a plus de TV pour se la montrer! Je vous remercie, c'est tout à fait naturel et normal pour moi de se dévouer pour ma contrée. Après tout, était-ce un certain PFK qui avait dit tout bonnement lors d'un coquetel à propos de tout et de rien : "Ne vous demandez pas ce que votre contrée peut faire pour vous à part les routes et les hôpitaux, demandez-vous plutôt ce que vous pourriez faire pour diminuer les files d'attentes dans les épiceries et guichets à la veille des grands congés?". En tout cas, ça ressemblait un peu à cela mais je ne peux garantir l'exactitude des propos recueillis à ce moment puisque je n'étais même pas né et que les VHS qui n'existe déjà pratiquement plus, n'existait pas encore pour "taper" la conversation en question.

Que de pensées...

Bye là,

Alain

vendredi 20 juin 2008

Mardi à 2 pour 1

Salut,

C’est l’histoire d’un gars, un très vieux gars en fait, si l’on considère l’âge de l’histoire en question. On va l’appeler Johnny. Le gars qui s’appelle Johnny avait comme fâcheuse habitude de marcher et de jaser. Comme il jasait parfois dans le désert, il devait constamment se déplacer. La télétransportation telle qu’on l’a connue dans une histoire du futur et qui mettait en vedette un autre gars qui lui, marchait autant qu’il jasait, c’est-à-dire pas beaucoup et qui de surcroît, ne venait pas tellement de la planète Terre. Lui, on pourrait l’appeler Ken ou Spock mais ça n’a pas vraiment d’importance dans le fond puisque ce personnage ne fait pas partie de l’histoire de Johnny.

Maintenant que tout le monde est situé et comprend bien le contexte, on va reprendre le fil de l’histoire de Johnny. Vu que le gars jasait pas mal, il fallait à un moment donné qu’il en invente des histoires parce qu’à un moment donné, un gars a beau avoir de la mémoire, il peut venir à court de souvenirs. Comme il avait une très bonne imagination, il était un peu considéré comme un genre de devin, un prophète moderne. Un genre de Trevor Timmins, éclaireurs de juniors talentueux. À un certain moment, Johnny s’est mis à répéter sans arrêt le même refrain à propos d’un de ses cousins qui marchait et jasait comme lui. Je crois que ce devait être de famille comme manie. Ce dernier fait d’arme de notre ami Johnny s’est avéré être d’une très grande justesse puisque son cousin est devenu célèbre pour ses propos politiques qui sont peu à peu devenus plus spirituels et colportés depuis maintenant des milliers d’années.

Je ne sais pas comment c’est devenu ainsi mais les prophéties de Johnny ont faites en sorte qu’à un moment donné les nationalistes d’une sympathique petite contrée elle-même située à l’intérieur d’un énorme pays (genre, le deuxième sur la planète sur laquelle Ken qui ne faisait pas partie de l’histoire ne provenait pas).

Aujourd’hui, le ptit frisé blond qui ne devait pas être tellement blond à l’origine a gracieusement donné son nom, l’a-t-il vraiment donné en personne, on pourrait en douter, à un événement à n’en pas douter aussi populaire que le ragoût de pattes de cochon dans nos chaumières pendant le temps des fêtes.

La question est maintenant de savoir si ce sont les idéologies politiques, religieuses, de saison ou de houblon qui font que cette fête est si populaire. Chacun a probablement son idée à ce sujet mais tel un membre libéral du parlement fédéral, je ne me prononcerai pas là-dessus de peur de me retrouver en élections que je pourrais encore perdre.

Je vais donc me contenter de souhaiter à tous les braves lecteurs de cette parodie socio-politico-sporto-expresso allongé une très joyeuse St-Jean.

Je vous laisse, je dois aller faire provision de liquide en vue de ma future méditation spirituelle ou spiritueuse idéologiques.

Bye là,

Alain

samedi 7 juin 2008

Un petit tour aux Iles

Il s’en est passé des affaires depuis la dernière fois. J’étais pas mal dans la région métropolitaine dernièrement mais cette semaine j’ai eu `me rendre dans un coin de pays que je n’avais jamais eu le plaisir de visiter auparavant. Vous savez, la petite parcelle de terre qui se trouve à l’est de la Gaspésie, les Iles-de-la-Madeleine. C’est beau, comme ils disent dans l’annonce de la quincaillerie qui ne parle même pas des Iles.

La façon de s’y rendre a pourtant été un peu plus compliqué que je ne l’aurais espéré!

Mercredi matin vers 06h30, je démarre de chez moi. Déjà du trafic sur le métropolitain. Faudra penser à repenser cette voie qui traverse Montréal parce qu’elle est de plus en plus congestionné et de plus en plus longtemps. Mais cela, c’est une autre histoire qui nécessitera probablement plein de poste de péage et plein d’autres commisions d’enquête et de consultations sans lendemain mais qui rassure un peu tout le monde dans le domaine des... consultations.

J’arrive finalement à Montréal-Trudeau comme ils disent dans les grandes ligues vers les 07h00. Je me rends vers une borne libre-service vraiment bilingue, en fait bien meilleurs dans ce domaine que les agents dit-bilingues de chez Air Canada. Je glisse donc le code à barres du billet électronique sous le lecteur de codes à barre de la fâmeuse borne. Sur l’écran, quel bonheur, ça me dit Bonjour Monsieur Balleux! Sans aucune faute dans mon nom en plus. La journée part vraiment bien. Je passe au travers des dédales de la sécurité qui ne sonne même pas à mon passage. Non mais, je devrais me prendre un billet (pas d’avion), c’est définitivement mon jour de chance.

Je me rends donc à la porte 34 sans plus tarder. Je me trouve une place pour m’asseoir non loin du lieu du crime pour ne rien manquer. Oups! Un nouveau petit panneau glissant vient de s’insérer sous l’annonce de mon vol en direction de Québec-Gaspé-Iles-de-la-Madeleine. « Retardé – Delayed ». Ah comme c’est fort le bilinguisme... écrit. Un bris mécanique. C’est peut-être mieux de prendre un peu de temps pour réparer le coucou. Je vais donc porter un peu de café question de laisser un souvenir dans les égoûts de Dorval. En y revenant, je constate sur le panneau électronique que mon vol est non seulement retardé mais aussi annulé. Re-oups! C’est le temps de se manifester au comptoir.

- Euh salut! Je suis supposé me rendre aux Iles aujourd’hui mais il me semble que vos panneaux sont en contradiction.
- Pardon me!
- C’est de votre faute?
- Can I help you?
- Je ne comprends plus tellement, vous l’avez brisé et maintenant vous voulez m’aider. Faudrait se faire une idée!
- Are you going to les Iles-deu-la-Madelyne?
- Ouais, dans ce bout là, autant que possible.

Bref, je vous fais grâce des détails mais il faut comprendre que mes amis d’Air Canada décident donc de nous shipper vers Québec, la Capitale et de là, il y aura un vol qui se rendra aux Iles. Tant qu’on se rend! Après une couple de retards sur le vol de retard, nous embarquons pour Québec. 26 minutes pour s’y rendre. Ça équivaut à environ 600 kilomètres à l’heure, pas pire! Un bon vent de dos peut-être. Dans l’avion, j’étais asis à côté d’une future vedette de la LNH. Le jeune homme arrivait de Val d’Or. Il a joué toute l’hiver pour les Forestiers d’Amos dans le midget AAA et il s’en allait vers Québec rejoindre ses parents pour partir de nouveau pour Cap-Breton où le repêchage junior aura lieu en fin de semaine. Il croit qu’il sera repêché en troisième ronde. Un défenseur avec comme agent Enrico Ciccone qui a comme oncle Mario Marois, un ancien défenseur des Nordiques que j’avais côtoyer dans le temps que je travaillais dans un dépanneur non loin de Loretteville. Le jeune homme donc, se nomme Philippe Pépin. Un nom à surveiller comme dirait l’autre.

Après une petite heure d’attente dans le magnifique aéroport de Québec, moi et mon nouveau « Fan club » de l’âge d’or nous dirigeons vers le non moins magnifique Dash 8 d’Air Canada Jazz. Trajet sans histoire vers les Iles. Il pleut à boire debout rendu là-bas. Drôle d’expression encore! J’arrive donc à l’hotel-motel Bellevue vers 17h15. Il ne me reste qu’une chose à faire pour compléter cette journée de rêve. Un bon snack est de rigueur. La Factrie s’avère donc un choix logique en cette saison.

La Factrie c’est une usine de traitement du poisson et de ses dérivés comme le beurre à l’ail, je pense. Au rez-de-chaussée, on y retrouve la poissonnerie conventionnelle avec toutes les espéces locales exposées telles dans un salon D’urgel Bougie... en tout cas, je l’imagine puisqu’à mon arrivée, cette partie de l’établissement était déjà fermée. Ah, ces travailleurs syndiqués saisonniers! Au premier étage se situe ce qu’ils appellent la partie restaurant. Je dirais plutôt cafétéria mais cela n’a pas vraiment d’importance puisque l’idée première n’était pas le décor mais plutôt la boustifaille qui était offerte. Deux choix s’offrent à vous à l’entrée, la « boose » ou la bouffe. Je commence par le côté bouffe. Il y a même un menu d’offert qui fait aussi office de napperon dans le fond du splendide cabaret de pléstique. Je fais la ligne parce que je ne suis pas seul à saliver. En fait, une bonne partie des amis que j’ avais découvert sur le vol pour les Iles semblent s’êtrte donnés rendez-vous ici! Et moi qui n’était même pas invité. À moins que ce ne soit un « surprise party » en reconnaissance de mes loyaux services? Peu importe, je ne les connais même pas de toute façon. Mon tour arrive... enfin. Je demande d’avoir une femelle d’une livre, une livre et quart, ayant l’air de très bien connaître cela et espérant surtout qu’il n’y aura pas trop de questions pièges par la suite. La madame en choisit donc un rouge dans la pile. Ne me demandez surtout pas comment elle fait pour déterminer la différence entre une femelle et un mâle car je n’en ai aucune idée. C’est un peu comme savoir si on doit dire un ou une avion, la plupart du temps, elles ou ils sont bien trop haut dans les airs pour qu’on puisse y voir la différence. Oh! En passant, quelqu’un peut me dire comment on appelle le mâle de la panthère? Ça fait partie des sujets préoccupants de ce temps-ci au bureau et comme on ne connait pas la réponse, ni même wikipédia, je me disais que certains érudits pourraient connaître la réponse à cette épineuse question qui tracasse certains d’entre nous. La madame ramasse donc la homarde et lui flanque quelques coups de machette à des endroits bien précis, me sacre le machin rouge à moitié démanché dans une belle assiette de carton mou comme dans les épluchettes de blé d’inde et me dit : « Beurre à l’ail? » et moi de répondre : « Je vais en prendre deux petits plats SVP! ».

Je passe donc au deuxième comptoir, celui de la « boose » pour y commander un demi-litre de blanc. Ce sera meilleur pour ma santé que de la broue que je me dis. Maintenant que mes remords de santé se sont assoupis momentanément, je me dirige vers l’une des énormes tables en rangée pour déguster la chose tranquillement. Les vin est bon, la homarde ainsi que ses oeufs savoureux et les mains de plus en plus sales. Heureusement que j’avais pris la peine d’enfiler le sexy tablier de papier fourni généreusement par l’établissement pour éviter les ptits malheurs. Après deux pinces, quelques pattes, un ventre et toutes les parties que je ne peux malheureusement pas nommées et n’écoutant que mon courage, je me lève, accompagné de mon tablier qui a déjà l’air d’avoir effectué quelques chirurgies majeures, pour me rendre vers le comptoir, encore!

- Je vais prendre une autre femelle, question d’être certain qu’elle est encore aussi bonne.

Sourire entendu de la madame qui signifie probablement « Un autre gros cochon qui va s’empiffrer ici aujourd’hui »
Je retourne vers l’abattoir pour achever une autre victime. Pour ne pas que mon geste ne soit interprécomme étant en série, je m’arrête à deux. Il me reste encore un peu de force pour me rendre à ma chambre et m’effondrer dans les bras de Morphée. Après cela, je ne me souviens plus de rien, inspecteur.

Le lendemain, après mon cours, je me suis élancé sur les dunes pour y capter quelques images de la place. J’en ajouterai probablement quelques-unes prochainement sur ce site.

La rentrée

Je dois aussi avouer mon désarroi suite à la mini-rentrée de Marilou à l’école. Ce ne fut pas facile pour papa mais je crois qu’il y arrivera avec le temps. Je me donne jusqu’à la fin du secondaire et je devrais être plus sécure concernant le sujet.

Le Grand Prix

C’est en fin de semaine que toutes les pitounes de la planète se donne rendez-vous sur l’Ile Notre-Dame pour le Grand Prix de Montréal. Ah oui, il y aura aussi quelques bolides de course pour l’occasion.

Golf

Ma saison est aussi commencé mais comme les résultats ne sont pas encore appréciables, je vous en reparlerai dans une couple de rondes.

En terminant, je vous laisse sur une ou plus de pensées d’une de mes collègues de travail. Qui parle de briques propres dans nos têtes, je crois. Quoi de mieux qu’une citation pour étayer ces sages pensées :

« Il faut garder pur le foyer de nos pensées. »

C’est beau, hein? J’ai commencé à faire le ménage en ramassant la cendre et les vieilles bûches du foyer. Elle m’a aussi dit de surtout faire attention aux égrégores de pensées. Celle-là, je n’ai pas commencé à la travailler parce que je dois la digérer et l’assimiler avant de la mettre en pratique. En tout cas, je le pense. Et vous?

Alain