Salut,
Je sais, ça fait un bout de temps, mais la vie étant ce qu'elle est, il arrive parfois que des pannes incontrôlables se produisent et fassent en sorte que la production s'apaise quelque peu. Un peu plus d'une semaine sans nouvelles, il y en a surement quelques-uns qui ont dû se poser quelques questions. Je l'espère un peu...
Pour vous rassurer, vous n'avez rien manqué de ma trépidante vie de formateur-voyageur puis que la dernière semaine m'a amenée très loin; Laval. Comme j'en ai déjà parlé, je ne ferai pas plus de publicité qu'il faut à Vaillancourt et son île. Il n'en a pas besoin. Pas d'opposition, il devrait mourir en place mais dans plus de temps qu'une autre dont la population de la vieille capitale aurait eu bien besoin. Ma'am Boucher, reposez en paix, vous l'avez bien méritée! C'est ben beau de parler des maires et mairesses d'un peu partout mais qu'en est-il de mon propre maire? C'est quoi déjà son nom? Ah oui! Tremblay, Gérald de son prénom. Un autre qui n'a à peu près pas d'opposition mais qui pourrait quand même trouver le moyen de perdre la prochaine bataille, seul! Pôvre Gérald! uis-je en train de discourir à propos de politique? Et provincial en plus? Il était vraiment temps que je reprenne le clavier, euh, le collier!
Dans un autre ordre d'idée, mon tournoi de golf de la semaine dernière s'est très bien déroulé. Il a fait beau. Il y a eu de beaux et mons beaux coups. Quoi de plus normal! Un bon souper. Et j'ai même reçu un trophée des maisn de Yvs Corbeil en personne! WOW! Non mais une vedette des électros-ménagers et de la roulette, non russe, ce n'est pas rien! Pour demeurer dans le même sport, j'aimerais prendre la prochaine ligne pour féliciter un ptit gaucher canadien, Mike Weir, qui a très bien fait à la Coupe des Présidents qui avait lieu chez nous ce week-end. Personne ne le voyait parmi les grands et sa fiche du week-end fut des plus reluisante avec, pour terminer une victoire contre le meilleur joueur au monde, le tigre des bois. re-WOW! Way to go, Mike! Toujours dans le domaine du sport, une pensée que j'ai vu traverser mon esprit dernièrement : "Nos glorieux devraient trouver l'hiver long en TA..." Ce n'est qu'une pensée dérivant dans un esprit tortueux et sans fin me direz-vous, mais comme elle est probablement partagée par bon nombre de "gérants d'estrade" du même acabit que ma personne, soit celle qui a eu cette pensée au départ, il valait mieux la partager.
Aujourd'hui la ptite famille est allé à la traditionnelle "chasse aux pommes". Et je vais dire comme dirait un vrai bon chasseur! Nous avons tué! Une bien belle récolte de ces petits fruits que ma fille adore dégusté! Nous étions à St-Hilaire au verger du flanc nord. Belle place! Grand-maman Lise et Grand-papa Maurice nous y accompagnaient comme à l'habitude avec matante Colette. Ça fait maintenant partie des traditions chez nous. Au temps des pommes, nous partons avec Lise, Colette et Maurice cueillir des pommes un dimanche après-midi. Une intrus s'est toutefois joint à notre groupe aujourd'hui. Une autre matante: Pierrette! Donc trois petites soeurs qui ricanaient des folleries de notre Marilou nationale. Donc avis à une autre Colette : "Ta mère doit être à la veille de t'en parler si ce n'est déjà fait!
Je repars demain pour une autre aventure qui devrait me mener de Québec jusque vers Jonquière avec un autre crochet vers Québec avant de revenir au village. Je vous en reparle.
Même si l'engrenange semble encore un peu rouillé, je crois que la panne est sur le point de se réparer. J'ai bon espoir en tout cas.
À la revoyure,
Alain
Qui suis-je?
dimanche 30 septembre 2007
vendredi 21 septembre 2007
jeudi 20 septembre 2007
Que dire du week-end à venir?
Gros week-end au programme... et sportif en plus!
Demain, c'est ma ronde habituelle de golf comme à chaque deux vendredis depuis le début de l'été. Citron, que j'ai une belle job! Le fruit utilisé ici est un subterfuge pour tenter de tromper les oreilles de nos plus jeunes dans notre façon de s'exprimer. Je ne peux pas vraiment dire que c'est un succès dans mon cas mais je peux dorénavant affirmer que j'ai fait au moins un effort aujourd'hui.
Après St-Jérôme demain, je me rendrai samedi, il ne pleut jamais sur un terrain de golf, au Granby-St-Paul pour le tournoi annuel de l'entreprise pour laquelle je travaille pour ne pas la nommer. Grosse compétition en perspective! Les membres de mon équipe sont fins prêts! En tout cas, je l'espère! Pierre est soudainement devenu silencieux. Pas normal. Il doit être dans sa bulle. René a retrouvé ses bâtons! Il dit aussi que son linge est prêt. C'est un départ. En ce qui a trait à Raymond, il a maintenant des balles, un peu de bâtons et partagera son putter avec n'importe lequel des droitiers disponibles au moment d'effectuer ses coups roulés. Je crois donc que nous sommes plus prêts que jamais. Nos adversaires n'ont qu'à bien se tenir. Parlant de ces derniers, j'ai entendu dire que Alain1 a fait quelques "aigles" dernièrement. Il ne s'en vante pas trop par contre. Laval lui, joue trois-quatre fois par semaine. Du côté de l'équipe de Guylaine, Marie-Jeanne et Yann, ils sont très silencieux. Peut-être est-ce une stratégie? Je ne sais trop. De gros montants sont donc en jeu. En tout cas, pleins de défis à venir. Je vous ferai probablement un compte-rendu, si ça va bien pour moi, évidemment! :)
Je serai donc un peu absent cette fin de semaine puisque je troquerai mon clavier pour mon cocheur. Y a donc des beaux mots cachés dedans notre langue!
On s'en reparle,
Alain
Demain, c'est ma ronde habituelle de golf comme à chaque deux vendredis depuis le début de l'été. Citron, que j'ai une belle job! Le fruit utilisé ici est un subterfuge pour tenter de tromper les oreilles de nos plus jeunes dans notre façon de s'exprimer. Je ne peux pas vraiment dire que c'est un succès dans mon cas mais je peux dorénavant affirmer que j'ai fait au moins un effort aujourd'hui.
Après St-Jérôme demain, je me rendrai samedi, il ne pleut jamais sur un terrain de golf, au Granby-St-Paul pour le tournoi annuel de l'entreprise pour laquelle je travaille pour ne pas la nommer. Grosse compétition en perspective! Les membres de mon équipe sont fins prêts! En tout cas, je l'espère! Pierre est soudainement devenu silencieux. Pas normal. Il doit être dans sa bulle. René a retrouvé ses bâtons! Il dit aussi que son linge est prêt. C'est un départ. En ce qui a trait à Raymond, il a maintenant des balles, un peu de bâtons et partagera son putter avec n'importe lequel des droitiers disponibles au moment d'effectuer ses coups roulés. Je crois donc que nous sommes plus prêts que jamais. Nos adversaires n'ont qu'à bien se tenir. Parlant de ces derniers, j'ai entendu dire que Alain1 a fait quelques "aigles" dernièrement. Il ne s'en vante pas trop par contre. Laval lui, joue trois-quatre fois par semaine. Du côté de l'équipe de Guylaine, Marie-Jeanne et Yann, ils sont très silencieux. Peut-être est-ce une stratégie? Je ne sais trop. De gros montants sont donc en jeu. En tout cas, pleins de défis à venir. Je vous ferai probablement un compte-rendu, si ça va bien pour moi, évidemment! :)
Je serai donc un peu absent cette fin de semaine puisque je troquerai mon clavier pour mon cocheur. Y a donc des beaux mots cachés dedans notre langue!
On s'en reparle,
Alain
mercredi 19 septembre 2007
Idéologie sans idée
Comme j'étais à court d'idées pour remplir l'espace du jour, j'en ai jasé avec mon frère qui m'a fait parvenir une liste complète de sujets. Je vais donc tourner autour desdits sujets.
- Apparemment que le Conseil de l'industrie forestière du Québec menace de poursuivre le Gouvernement du Québec pour non-respect de contrat! Ceci est un sujet qui tient à coeur à mon ptit frère. Je veux dire, l'industrie forestière. Pour un non-initié comme je peux l'être, c'est un peu moins excitant et par le fait même je dois avouer que je n'ai aucune idée de quoi il s'agit. J'irai donc avec ma propre version des faits. Poursuivre le gouvernement, ça doit être facile, surtout à la vitesse que ça fonctionne. Ah! Et si le gouvernement se met à ne pas respecter les contrats maintenant, ou est-ce qu'on s'en va? Je vous le demande? Je me commet maintenant. Je vais prendre pour la forêt puisqu'elle est probablement plus près de la terre, je veux dire la planète, que ne doit l'être le gouvernement et comme je dois penser à l'avenir de ma fille, la forêt me semble meilleure!
- La ville de Montréal a congédiée 45 employés pour cause de paresse. Est-ce qu'on parle seulement de cols bleus? parce que, je veux dire... Il me semble que ce n'est pas nouveau comme sujet. Disons que l'estime que j'ai pour ces gens n'est déjà pas très haute, alors... Rien pour aider, disons.
- Un peu dans le même ordre d'idée, on dit que Sarkosy veut introduire la "culture du résultat" dans la fonction publique l'autre bord du trou d'Eau qui est appelé l'Atlantique. Je lui souhaite "Bonne chance". Quand on en est rendu à introduire une culture du résultat, ça doit être qu'on est encore bien loin d'un... départ. Mon frère croit qu'on devrait le comparer à un certain Don Quichotte!.
- Aucun pont n'est tombé aujourd'hui au Québec. Ce qui constitue une bonne nouvelle je crois. Par contre, Britney Spears continue à consommer de l'alcool et de la drogue. OK! Peut-être est-ce mieux ainsi, finalement?
- C'est 3 à 0 après une période pour les Islanders de Long Island contre nos Glorieux, mais je crois que la saison ne sera pas assez longue pour qu'on puisse faire le tour de la question. Pour voir un aspect plus positif de ce sport, je vous annonce en grande pompe que la saison de hockey de Claude débute vendredi soir. Que de bières à consommer pour ces dieux du Zamboni!
Ça fait le tour de la question ou de ses sujets suggérés.
À la revoyure,
Alain
mardi 18 septembre 2007
Second regard
Ce soir, je vais tenter une autre expérience. En fait, une variante de ce que j'avais testé la veille. Hier, à partir d'une chambre d'hôtel de Gatineau sur une 20 pouces pas HD, j'ai observé nos Canadiens (équipe B) vaincre les Penguins (équipe A). Pour les néophytes, il faut comprendre que la saison n'est même pas commencée même si l'engouement des partisans dont je fais partie est déjà pratiquement à son comble. Imaginez! Nous sommes nous ennuyés pour déjà tripper comme cela avant même que la saison ne débute.
Pour changer ce soir, je le ferai d'abord de Montréal. Dans mon salon. Et sur une 26 pouces mais toujours pas HD. Anyway, RDS ne sera HD qu'à partir du 3 octobre, ont-ils annoncé en grande pompe. Le HD, quand ferons-nous le saut, je ne saurais encore le dire mais le jour viendra. On embarquera dans le bateau comme tout le monde éventuellement. Non pas que tout le monde y soit déjà mais ça viendra aussi. Ce soir donc, les Penguins avec un peu moins de régulier qu'hier affronteront de nouveau la Sainte Flanelle qui comptera dans ses rangs un peu plus de réguliers qu'hier. Quel en sera le résultat, nous serons en mesure de le constater demain matin à la première heure dans tous les grands quotidiens ou même ce soir via les médias électroniques, surtout à caractère sportif.
Je ne sais si je pourrai effectuer cet expérience jusqu'au bout étant donné l'horaire déjà établie côté télévisuel durant la semaine chez nous. Bones détrônera probablement le palet et le gouret à partir de 21h00 parce que... noblesse oblige! Une autre expérience, quoi!
Ce qu'on ne ferait pas pour la science...
Alain
Pour changer ce soir, je le ferai d'abord de Montréal. Dans mon salon. Et sur une 26 pouces mais toujours pas HD. Anyway, RDS ne sera HD qu'à partir du 3 octobre, ont-ils annoncé en grande pompe. Le HD, quand ferons-nous le saut, je ne saurais encore le dire mais le jour viendra. On embarquera dans le bateau comme tout le monde éventuellement. Non pas que tout le monde y soit déjà mais ça viendra aussi. Ce soir donc, les Penguins avec un peu moins de régulier qu'hier affronteront de nouveau la Sainte Flanelle qui comptera dans ses rangs un peu plus de réguliers qu'hier. Quel en sera le résultat, nous serons en mesure de le constater demain matin à la première heure dans tous les grands quotidiens ou même ce soir via les médias électroniques, surtout à caractère sportif.
Je ne sais si je pourrai effectuer cet expérience jusqu'au bout étant donné l'horaire déjà établie côté télévisuel durant la semaine chez nous. Bones détrônera probablement le palet et le gouret à partir de 21h00 parce que... noblesse oblige! Une autre expérience, quoi!
Ce qu'on ne ferait pas pour la science...
Alain
lundi 17 septembre 2007
Hockey à Gatineau
Salut,
Pas grand chose à dire en provenance de l'Outaouais de ma part ce soir. Je suis actuellement "parqué" devant une 20 pouces pas HD pentoute à checker nos futurs glorieux se débattre comme des "yables dans l'eau bénitte" contre la bande à Sydney. Le futur risque d'être intéressant. Pour ce qui est du présent... c'est pas certain encore. De là à proclamer que la Coupe Stanley paradera sur la Catherine l'été prochain, il ne faudrait pas s'énerver quand même mais qui vivra verra.
Je retourne donc vérifier cela pour vous autres et je vous en reparle éventuellement.
Bye là,
Alain
Pas grand chose à dire en provenance de l'Outaouais de ma part ce soir. Je suis actuellement "parqué" devant une 20 pouces pas HD pentoute à checker nos futurs glorieux se débattre comme des "yables dans l'eau bénitte" contre la bande à Sydney. Le futur risque d'être intéressant. Pour ce qui est du présent... c'est pas certain encore. De là à proclamer que la Coupe Stanley paradera sur la Catherine l'été prochain, il ne faudrait pas s'énerver quand même mais qui vivra verra.
Je retourne donc vérifier cela pour vous autres et je vous en reparle éventuellement.
Bye là,
Alain
dimanche 16 septembre 2007
Collection d'automne
Circonstances atténuantes
Il y a de ces coincidences parfois dans la vie. Hier soir alors que je n'avais pas grand chose à écrire, je m'y suis quand mis pour arriver à un résultat qui n'allait pas vraiment nulle part (mon frangin me l'a d'ailleurs rappelé si gentiment via un commentaire d'ailleurs) comme la phrase que je suis en train d'écrire mais il y a quand même quelqu'un qui m'a lu que je ne croyais avoir comme lecteur.
En lisant mes courriels plus tôt aujourd'hui, j'en avais trois qui provenaient de mon blogue en tant que commentaires suite à mon billet d'hier. Kawine, une scrapbookienne accomplie qui est comme un genre de pharmacienne et qui travaille la fin de semaine et qui me l'a très gentiment rappelé et qui est une partisane de nos Glorieux et qui m'a fait un peu sourire à la lecture de son commentaire. Un drôle de mélange, n'est-ce pas? Scrapbook, Hockey de la LNH et pharmacie! WOW! Je trouve que ça sent un peu les stéroïdes, trouvez pas?
Ensuite, un certain Acce m'a aussi fait un commentaire et c'est là que ça devient intéressant. Qui pouvait donc être ce fâmeux Acce? À première vue, je n'en ai aucune idée. Je lis donc le courriel qui lui aussi me fait un peu sourire et à mesure que j'avance, le demi-sourire se change graduellement en sourire radieux. Acce est donc Philippe, un neveu. Un neveu d'une autre vie par zemple. Mais comme Chantal me disait pas plus tard que tantôt : "Même s'il s'agit d'une autre vie, ce sera ton neveu pour toujours." Elle est tellement "full sagesse" des fois ma blonde. Alors oui, je me confesse, j'ai eu une autre vie avant celle-ci. Je ne dirais pas qu'il s'agit ici de réincarnation ou un autre truc du genre mais il y a des fois où on repart comme à neuf dans la vie. C'est arrivé à quelques personnes et je ne fais pas exception à la règle dans ce cas. J'ai donc connu Philippe à sa naissance. Cet enfant, après avoir été conçu dans la vieille capitale par son artiste de père Renaud et sa charmante mère Élisabeth, a été porté à Toronto, oui oui dedans l'Ontario profonde (à l'ouest de la frontière où a été tourné un très bon film bilingue du nom de "Bon cop, bad cop") pour finalement venir au monde en plein Montréal juif. Il venait à peine de naître qu'il avait déjà plus de millage dans le corps que beaucoup de monde que je connais. Bref, il a aujourd'hui 19 ans et des poussières et il est étudiant, maniaque de Heavy Metal comme en fait foi son blog. Il m'a trouvé en faisant un genre de recherche webienne qui ne me concernait pas vraiment mais qui m'a quand même retrouvé. Le seul critère utilisé était Montréal. Non mais, je veux dire, Montréal et moi, c'est du pareil au même, vous ne trouvez pas? C'est quand même assez fort la technologie de nos jours! J'écris tranquillement à propos de tout et de rien et voilà qu'un jeune homme dont je n'ai pas entendu parler depuis des lunes me retrace et lance un ptit coucou comme cela en passant.
Alors, quand on dit que "Big brother is watching you", on en était pas loin aujourd'hui. Il n'y a plus de secret mentionnait aussi un autre film et je dirais spécialement pour la gang des blogueux dont je fais partie.
En terminant, je voudrais saluer toute la famille Landry que je n'ai pas vu depuis trop longtemps. Élisabeth, Renaud, Antoine et Philippe, je vous salue bien bas!
À la prochaine,
Alain
PS: Je retourne à Gatineau demain après un petit arrêt à St-Eustache en passant. Je termine ma semaine à Montréal. En fin de semaine, gros tournoi de golf à Granby St-Paul! Je ne m'en fais pas trop parce que mes coéquipiers seront Raymond, René et Pierre. De saints hommes! Alors, Saint-Raymond, Saint-René et Saint-Pierre, priez pour nous! Parce que je pense que parce qu'et puis, le puck ou plutôt la balle pourrait rouler pour nous autres mais de toute façon, nous donnerons définitivement notre 110%.
En lisant mes courriels plus tôt aujourd'hui, j'en avais trois qui provenaient de mon blogue en tant que commentaires suite à mon billet d'hier. Kawine, une scrapbookienne accomplie qui est comme un genre de pharmacienne et qui travaille la fin de semaine et qui me l'a très gentiment rappelé et qui est une partisane de nos Glorieux et qui m'a fait un peu sourire à la lecture de son commentaire. Un drôle de mélange, n'est-ce pas? Scrapbook, Hockey de la LNH et pharmacie! WOW! Je trouve que ça sent un peu les stéroïdes, trouvez pas?
Ensuite, un certain Acce m'a aussi fait un commentaire et c'est là que ça devient intéressant. Qui pouvait donc être ce fâmeux Acce? À première vue, je n'en ai aucune idée. Je lis donc le courriel qui lui aussi me fait un peu sourire et à mesure que j'avance, le demi-sourire se change graduellement en sourire radieux. Acce est donc Philippe, un neveu. Un neveu d'une autre vie par zemple. Mais comme Chantal me disait pas plus tard que tantôt : "Même s'il s'agit d'une autre vie, ce sera ton neveu pour toujours." Elle est tellement "full sagesse" des fois ma blonde. Alors oui, je me confesse, j'ai eu une autre vie avant celle-ci. Je ne dirais pas qu'il s'agit ici de réincarnation ou un autre truc du genre mais il y a des fois où on repart comme à neuf dans la vie. C'est arrivé à quelques personnes et je ne fais pas exception à la règle dans ce cas. J'ai donc connu Philippe à sa naissance. Cet enfant, après avoir été conçu dans la vieille capitale par son artiste de père Renaud et sa charmante mère Élisabeth, a été porté à Toronto, oui oui dedans l'Ontario profonde (à l'ouest de la frontière où a été tourné un très bon film bilingue du nom de "Bon cop, bad cop") pour finalement venir au monde en plein Montréal juif. Il venait à peine de naître qu'il avait déjà plus de millage dans le corps que beaucoup de monde que je connais. Bref, il a aujourd'hui 19 ans et des poussières et il est étudiant, maniaque de Heavy Metal comme en fait foi son blog. Il m'a trouvé en faisant un genre de recherche webienne qui ne me concernait pas vraiment mais qui m'a quand même retrouvé. Le seul critère utilisé était Montréal. Non mais, je veux dire, Montréal et moi, c'est du pareil au même, vous ne trouvez pas? C'est quand même assez fort la technologie de nos jours! J'écris tranquillement à propos de tout et de rien et voilà qu'un jeune homme dont je n'ai pas entendu parler depuis des lunes me retrace et lance un ptit coucou comme cela en passant.
Alors, quand on dit que "Big brother is watching you", on en était pas loin aujourd'hui. Il n'y a plus de secret mentionnait aussi un autre film et je dirais spécialement pour la gang des blogueux dont je fais partie.
En terminant, je voudrais saluer toute la famille Landry que je n'ai pas vu depuis trop longtemps. Élisabeth, Renaud, Antoine et Philippe, je vous salue bien bas!
À la prochaine,
Alain
PS: Je retourne à Gatineau demain après un petit arrêt à St-Eustache en passant. Je termine ma semaine à Montréal. En fin de semaine, gros tournoi de golf à Granby St-Paul! Je ne m'en fais pas trop parce que mes coéquipiers seront Raymond, René et Pierre. De saints hommes! Alors, Saint-Raymond, Saint-René et Saint-Pierre, priez pour nous! Parce que je pense que parce qu'et puis, le puck ou plutôt la balle pourrait rouler pour nous autres mais de toute façon, nous donnerons définitivement notre 110%.
samedi 15 septembre 2007
Samedi swer
Salut,
C'est samedi soir, il n'y a pas de hockey à la tivi mais il ne fait quand même pas chaud à l'extérieur. 12 degrés, me semble que c'est une température de hockey du samedi soir à l'automne, non? Je me dis que si on n'a plus de beau temps, on pourrait au moins avoir du hockey pour se défouler un peu. Dans deux jours, Alain. Tiens bon! Je sais déjà ce que je ferai lundi soir dans ma chambre d'hôtel. Je vais contempler Sydney et sa bande de jeunes loups (quelques vieux loups de mer s'y ajoutent aussi) flanquer une volée à la sainte flanelle du CH. D'ailleurs, peut-on encore appelé cette flanelle une flanelle avec les changements de fibres qui ont lieu à travers toute la LNH (message aux scrappeuses lectrices, je veux dire pas la LNH mais plutôt la fibre en question)?
Pour remplacer le hockey, nous nous sommes donc trouvés un film au club vidéo. Je ne dis pas que ma blonde se serait assise à mes côtés pour regarder un match puisqu'elle n'est vraiment pas une "fan". Même, pas "pentoute". Je ne suis même jamais arrivé à la convaincre que c'était important qu'elle les encourage et ce, spécialement dans les moments difficiles. Résultat: ils n'ont même pas faits les séries au printemps passé! C'est un peu de la faute à ma blonde et de toutes celles qui ne prennent pas notre sport national qui est, soit dit en passant, remplis de toutes sortes de nationalités différentes de la nôtre, mais ma blonde elle, n'a aucun remord! Je ne comprends pas. S'il s'agissait d'un non-intéressement à la politique au moins, je pourrais comprendre et à la limite partager ce non-intéressement, mais le hockey de la LNH! Allez donc savoir! Quelle drôle d'expression, hein? Si on le savait, on ne se poserait plus de questions... inutiles du samedi soir.
Je vais donc aller installer le DVD dans mon super DVD recorder! Toujours à la recherche d'une solution, soit dit en passant. Je vais "checker" mon film avec ma blonde à mes côtés parce que ce n'est pas du hockey. Mais pourquoi donc? Le hockey de la LNH! Ça doit être à cause du lockout. Je lui demande et je vous en reparle... peut-être.
Bye là,
Alain
C'est samedi soir, il n'y a pas de hockey à la tivi mais il ne fait quand même pas chaud à l'extérieur. 12 degrés, me semble que c'est une température de hockey du samedi soir à l'automne, non? Je me dis que si on n'a plus de beau temps, on pourrait au moins avoir du hockey pour se défouler un peu. Dans deux jours, Alain. Tiens bon! Je sais déjà ce que je ferai lundi soir dans ma chambre d'hôtel. Je vais contempler Sydney et sa bande de jeunes loups (quelques vieux loups de mer s'y ajoutent aussi) flanquer une volée à la sainte flanelle du CH. D'ailleurs, peut-on encore appelé cette flanelle une flanelle avec les changements de fibres qui ont lieu à travers toute la LNH (message aux scrappeuses lectrices, je veux dire pas la LNH mais plutôt la fibre en question)?
Pour remplacer le hockey, nous nous sommes donc trouvés un film au club vidéo. Je ne dis pas que ma blonde se serait assise à mes côtés pour regarder un match puisqu'elle n'est vraiment pas une "fan". Même, pas "pentoute". Je ne suis même jamais arrivé à la convaincre que c'était important qu'elle les encourage et ce, spécialement dans les moments difficiles. Résultat: ils n'ont même pas faits les séries au printemps passé! C'est un peu de la faute à ma blonde et de toutes celles qui ne prennent pas notre sport national qui est, soit dit en passant, remplis de toutes sortes de nationalités différentes de la nôtre, mais ma blonde elle, n'a aucun remord! Je ne comprends pas. S'il s'agissait d'un non-intéressement à la politique au moins, je pourrais comprendre et à la limite partager ce non-intéressement, mais le hockey de la LNH! Allez donc savoir! Quelle drôle d'expression, hein? Si on le savait, on ne se poserait plus de questions... inutiles du samedi soir.
Je vais donc aller installer le DVD dans mon super DVD recorder! Toujours à la recherche d'une solution, soit dit en passant. Je vais "checker" mon film avec ma blonde à mes côtés parce que ce n'est pas du hockey. Mais pourquoi donc? Le hockey de la LNH! Ça doit être à cause du lockout. Je lui demande et je vous en reparle... peut-être.
Bye là,
Alain
Amélioration de garde-robe
Marilou était bien fier de son dernier cadeau! Non non, la poupée (une American girl SVP!) elle l'avait déjà. Matante Carole a donc ajouté à la magnifique et déjà existante garde-robe de ladite poupée avec ce merveilleux ensemble (robe, bobette, bas, souliers et machins pour mettre dans les cheveux) qui va à ravir au ptit dernier de notre fille. La fille était pas mal contente! La mère aussi, je dirais. Et moi? Ben disons que ça fera des ptits morceaux de plus à ramasser...
vendredi 14 septembre 2007
Week-end en ville
Salut,
Ce soir je vais traiter d'un sujet qui me tient à coeur. Il s'agit d'une cause bien défendable bien que déjà adulée par nombre de personnes. La fin de semaine. N'est-ce pas une belle expression qui sonne à vos oreilles? En tout cas, pour les miennes, c'en est une fichue de belle. Elle vient donc de débuter et comme quelques-uns des lecteurs qui suivent mes détours sur les routes m'ont gentiment rappelé que je n'avais pas écrit depuis longtemps, me voici donc.
On s'en promet, Chantal et moi pour le week-end! Tout d'abord pour demain étant donné ce que météomédia nous prévoit, on voudrait pouvoir dormir qjusqu'à au moins 10h00. On a averti Marilou. Chantal m'a dit que moi aussi je devais contribuer et ne pas faire un ti-coq de moi demain matin aux aurores et rester au lit. Bon! Je vais essayer que je lui ai dit. Des éclaircies sont aussi prévues en après-midi. Nous en profiterons donc pour sortir un peu du repaire. Plusieurs options s'offrent à nous et nous verrons bien comment on file rendu là.
Pour dimanche, je n'ai pour le moment aucune idée de ce que nous réservera cette journée. On verra bien aussi. Je vous l'avais bien dit que ce serait occupé.
La semaine a été ardu pour moi. On dirait que mon voyage en Outaouais m'a rattrappé. Ce n'est pourtant pas la mer à boire. J'y étais depuis mercredi après-midi et je n'ai même pas trouvé le moyen de vous écrire un petit mot de rien du tout. Honte sur moi comme qu'y disent de l`'autre bord de la rivière des outaouais, mais dedans la langue de Shakespeare. J'avais aussi l'appareil photo avec moi mais rien ne m'attirait et je n'ai donc rapporté aucun souvenir visuel de ce voyage. Comme j'y retourne la semaine prochaine, je tenterai de me reprendre. La nature a pourtant de belles choses à nous montrer dans ce temps-ci. OK, je serai un bon garçon la semaine prochaine.
Au programme pour la prochaine semaine : Mes origines (St-Eustache) lundi, Gatineau encore, mardi et Montréal pour mercredi et jeudi. Je devrais être dans le nord vendredi et non loin de Granby samedi. Je vous redonne des détails un peu plus tard.
Je crois que je vais aller déboucher une autre "bud" et zapper devant la tivi pour terminer ce vendredi.
Bye là,
Alain
Ce soir je vais traiter d'un sujet qui me tient à coeur. Il s'agit d'une cause bien défendable bien que déjà adulée par nombre de personnes. La fin de semaine. N'est-ce pas une belle expression qui sonne à vos oreilles? En tout cas, pour les miennes, c'en est une fichue de belle. Elle vient donc de débuter et comme quelques-uns des lecteurs qui suivent mes détours sur les routes m'ont gentiment rappelé que je n'avais pas écrit depuis longtemps, me voici donc.
On s'en promet, Chantal et moi pour le week-end! Tout d'abord pour demain étant donné ce que météomédia nous prévoit, on voudrait pouvoir dormir qjusqu'à au moins 10h00. On a averti Marilou. Chantal m'a dit que moi aussi je devais contribuer et ne pas faire un ti-coq de moi demain matin aux aurores et rester au lit. Bon! Je vais essayer que je lui ai dit. Des éclaircies sont aussi prévues en après-midi. Nous en profiterons donc pour sortir un peu du repaire. Plusieurs options s'offrent à nous et nous verrons bien comment on file rendu là.
Pour dimanche, je n'ai pour le moment aucune idée de ce que nous réservera cette journée. On verra bien aussi. Je vous l'avais bien dit que ce serait occupé.
La semaine a été ardu pour moi. On dirait que mon voyage en Outaouais m'a rattrappé. Ce n'est pourtant pas la mer à boire. J'y étais depuis mercredi après-midi et je n'ai même pas trouvé le moyen de vous écrire un petit mot de rien du tout. Honte sur moi comme qu'y disent de l`'autre bord de la rivière des outaouais, mais dedans la langue de Shakespeare. J'avais aussi l'appareil photo avec moi mais rien ne m'attirait et je n'ai donc rapporté aucun souvenir visuel de ce voyage. Comme j'y retourne la semaine prochaine, je tenterai de me reprendre. La nature a pourtant de belles choses à nous montrer dans ce temps-ci. OK, je serai un bon garçon la semaine prochaine.
Au programme pour la prochaine semaine : Mes origines (St-Eustache) lundi, Gatineau encore, mardi et Montréal pour mercredi et jeudi. Je devrais être dans le nord vendredi et non loin de Granby samedi. Je vous redonne des détails un peu plus tard.
Je crois que je vais aller déboucher une autre "bud" et zapper devant la tivi pour terminer ce vendredi.
Bye là,
Alain
mardi 11 septembre 2007
11 septembre, 6 ans plus tard!
Un peu trop claqué pour écrire mais comme il me vient tout à coup une pensée, j'ai songé que je devais la partager.
C'était il y a six ans, nous étions à cette heure tous et toutes consternées par les images que nous avions vues et revues en boucle pendant toute la journée. Les "twin towers" ou plus communément appelé World Trade Center s'était écroulé sous nos yeux, attaqué par des avions de ligne.
À New York, en plein jour et au beau milieu de l'heure de pointe locale. Tout s'est alors arrêté à New York et un peu partout alentour en banlieue jusque vers Montréal je dirais. Peut-être même Laval! La terre s'arrêtait donc de tourner ici en Amérique!
Impensable à aller jusque vers le 10 septembre 2001. Nous faire cela à nous, américains (j'inclus ici aussi les quelques 33 millions de canadiens et les 107 millions de mexicains puisque ce continent n'appartient pas seulement aux amérécains comme ils disent),et chez nous en plus! Non , mais ça prends-tu des, comment je dirais donc, des terroristes pour faire des affaires de même? Qu'ils se détruisent en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient ou à la limite en Europe, ça peut toujours aller, mais chez nous, ça nous a dérangé un peu. Choqué même, je dirais. Comme s'il y avait une barrière, totalement imaginaire en fait, que l'on croyait érigée quelque part dans l'Atlantique et qui nous protégeait de tout cela. Fallait-il être assez innocent pour penser ainsi? C'était sans compter sur Bin Laden et sa gang! Il a tout de même réussi à avoir notre attention ce sacré Oussama. Comme philosophe, il existe probablement moins violent mais je dirais que le résultat fut quand même réussi! En tout cas, j'y ai pensé hier à l'aéroport de Rouyn pendant que je me penchais pour remettre mes souliers après que la poêlonne qui vérifie si on fait bip quand elle passe partout sur notre corps soit passé et qu'elle ait constamment bippé parce que j'ai trop de plomb dans l'aile, probablement!
Et pendant ce temps, des journalistes nous prouvent que la frontière est une vraie passoire! Est-ce moi qui hallucine ou quoi? Je me fais fouiller en partant de Rouyn pour Montréal, ce qui est assez local je pense et n'imprte qui se promène d'un bord à l'autre de la frontière sans aucun problème! Je ne comprends juste pas. Est-ce que nos priorités seraient par hasard aux mauvais endroits? Peut-être que comme société on préfére se surveillés nous-même pendant que nos viaducs et ponts s'écroulent tranquillement sous nos yeux ou qu'on discute en dépensant beaucoup trop d'argent des accomodements raisonnables. Continuons donc d'accomoder tout le monde, ça nous fera plus de monde à surveiller! La poule ou bien l'oeuf?
Qui est venu en premier?
Je retourne à mon "James Patterson", lui au moins il ne fait pas trop se poser de questions à ses personnages qui savent agir promptement comme je l'aime.
Bye là,
Alain
C'était il y a six ans, nous étions à cette heure tous et toutes consternées par les images que nous avions vues et revues en boucle pendant toute la journée. Les "twin towers" ou plus communément appelé World Trade Center s'était écroulé sous nos yeux, attaqué par des avions de ligne.
À New York, en plein jour et au beau milieu de l'heure de pointe locale. Tout s'est alors arrêté à New York et un peu partout alentour en banlieue jusque vers Montréal je dirais. Peut-être même Laval! La terre s'arrêtait donc de tourner ici en Amérique!
Impensable à aller jusque vers le 10 septembre 2001. Nous faire cela à nous, américains (j'inclus ici aussi les quelques 33 millions de canadiens et les 107 millions de mexicains puisque ce continent n'appartient pas seulement aux amérécains comme ils disent),et chez nous en plus! Non , mais ça prends-tu des, comment je dirais donc, des terroristes pour faire des affaires de même? Qu'ils se détruisent en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient ou à la limite en Europe, ça peut toujours aller, mais chez nous, ça nous a dérangé un peu. Choqué même, je dirais. Comme s'il y avait une barrière, totalement imaginaire en fait, que l'on croyait érigée quelque part dans l'Atlantique et qui nous protégeait de tout cela. Fallait-il être assez innocent pour penser ainsi? C'était sans compter sur Bin Laden et sa gang! Il a tout de même réussi à avoir notre attention ce sacré Oussama. Comme philosophe, il existe probablement moins violent mais je dirais que le résultat fut quand même réussi! En tout cas, j'y ai pensé hier à l'aéroport de Rouyn pendant que je me penchais pour remettre mes souliers après que la poêlonne qui vérifie si on fait bip quand elle passe partout sur notre corps soit passé et qu'elle ait constamment bippé parce que j'ai trop de plomb dans l'aile, probablement!
Et pendant ce temps, des journalistes nous prouvent que la frontière est une vraie passoire! Est-ce moi qui hallucine ou quoi? Je me fais fouiller en partant de Rouyn pour Montréal, ce qui est assez local je pense et n'imprte qui se promène d'un bord à l'autre de la frontière sans aucun problème! Je ne comprends juste pas. Est-ce que nos priorités seraient par hasard aux mauvais endroits? Peut-être que comme société on préfére se surveillés nous-même pendant que nos viaducs et ponts s'écroulent tranquillement sous nos yeux ou qu'on discute en dépensant beaucoup trop d'argent des accomodements raisonnables. Continuons donc d'accomoder tout le monde, ça nous fera plus de monde à surveiller! La poule ou bien l'oeuf?
Qui est venu en premier?
Je retourne à mon "James Patterson", lui au moins il ne fait pas trop se poser de questions à ses personnages qui savent agir promptement comme je l'aime.
Bye là,
Alain
dimanche 9 septembre 2007
Récit de voyage lointain
Salut,
Pour les mordus de voyages exotiques, voici comment s'est déroulé mon escapade vers le nord ce soir.
18:30 : Départ de la maison. Gros bisous aux deux femmes de ma vie. Je suis un peu nerveux. Qui sait si je pourrai revenir?
19:00 : Arrivée à l’aéroport. Le stationnement « cheap » est à 16$ par jour. Un peu cher, non? Même pas au Centre-ville et même tarif et peut-être même un peu plus.
19:10 : L’enregistrement se fait via un guichet. Fini le temps ou on pouvait parler à quelqu’un! Oui, mais ma valise, je vous la refile comment? Par la fente de la carte de crédit? Pas évident. Enfin, vive le progrès et on verra bien. Ladite machine me reconnaît et me demande combien de valises je veux enregistrer. Je ne suis même pas capable de le faire avec mon nouveau DVD recorder encore et il faudrait que j’enregistre une valise? Quelle aventure! Une gentille madame tout de bleu vêtue avec une affreuse cravate ou foulard rouge s’approche de moi en constatant que je prle avec le guichet. Peut-être se cherche-t-elle un ami? Non, elle travaille pour Air Canada et m’informe de tous mes droits. Je n’ai pas les mains menottées et elles ne sont pas dans le dos, rassurez-vous. C’est maintenant fait. La file d’attente suivante maintenant. Je crois que quelqu’un va maintenant daigner me parler. C’est qu’ils la veulent vraiment cette foutue valise! Je n’ai pas collé le « sticker » correctement qu’il me dit dans un français digne de Taronto. On recolle le tout ensemble. Il semble s’inquiéter… de ma valise. Ça passera qu’il me dit finalement. J’ai de moins en moins confiance. Prochaine étape; une autre file d’attente.
19:25 : Passage à la sécurité. Là où on doit vider le contenu des valises qu’on garde, le mélanger dans un bacc à vaisselles avec nos souliers et notre ti change. Tout se passe relativement bien. Pas de problème avec l’ordi, le projecteur, la caméra, le CPAP. Mais ma petite bouteille d’eau pour le CPAP c’est trop! Elle ne passe pas, mais pas pentoute. Méchant racket que je trouve mais je n’en parle pas trop. J’aurais donc dû y penser. Je passe finalement à travers. Je me rhabille, la ceinture, les souliers, le jacket. Ils ne m’ont pas fait enlever mes bobettes, fiou!!!
20:00 : J’arrive à ma porte d’embarquement. Je prends quelques notes à défaut de prendre une bière à l’unique bar du milieu de la place et déjà pleins de monde, soit quatre personnes emplissant les quatre places disponibles. J’attends maintenant l’embarquement qui devrait débuter selon mon ptit cartron vers 20H20.
20:29 : On nous appelle pour l'embarquement. Un peu de retard en perspective! Le troupeau s'engouffre donc peu à peu dans l'antre du dragon de feu. (L'avion avait du jaune et du vert dessus, pas de farce!). Je trouve mon siège, le 3D dans l'allée dans lequel je me dépêche de m'éfouairer en espérant que je n'aurai pas de voisin qui va prendre de la place, jaser et placoter pour m'empêcher de lire mon James Patterson.
20:31 : Le voisin que je ne voulais pas arrive. Il porte des bermudas et a l'air tellement heureux de trouver un voisin pour jaser.
20:35 : pendant que Bermudas continue à me raconter sa vie, notre hôtesse, Stacey nous crache quelque chose à travers son micro qui fonctionne toujours aussi bien. Je réussis à comprendre dans la partie anglophone de son message que nous partirons bientôt et que nous volerons à une altitude de 20 000 pieds pendant une heure vingt-sept minutes. Non mais, Who cares que nous serons à 20 000 pieds? Au fait, pourquoi se font-ils toujours une fierté de nous dire à quelle hauteur nous volerons? Pour qu'on s'imagine mieux à quelle vitesse nous nous écraserons si jamais ça va mal? Que de questions.
20:49 : Stacey se la ferme et se dépêche de la boucler et nous voilà partis. Décollage avec 5 minutes d'avance. Bermudas jase toujours malgré le fait que j'aie commencer à regarder avec attention mon livre.
20:5? : Je n'ai plus l'heure mais Stacey vient de se lever pour nous préparer de magnifiques "appetizers" de toutes sortes de forme et pratiquement pas mangeables mais qu'on mange quand même pour passer un peu de temps. Bermudas semble faire dodo.
22:15 : à peu près, Stacey tente de nous informer de fermer tout ce qui est électronique car nous atterrirons très bientôt en zone abitibienne. Remonter tout ce qui est bas et ne faites pas trop le saut et tout le pataclan. Bermudas ouvre un oeil. Je remet les deux miens dans mon livre car Alex semble dans un autre pétrin duquel il se ressortira probablement mais vaut mieux ne pas le perdre de vue.
22:20 : Je fais un CR... de saut . Nous venons d'atterrir et je l'avais déjà oublier tellement j'étais ensorcelé par le récit de James et de son héroïque Alex. Stacey nous recrache un genre de message qu'elle a appris par coeur et qu'elle se dépêche de débiter pour ne pas l'oublier. En résumé, il fait frette et il mouille. Je détache ma ceinture quelques secondes avant que la lumière ne s'allume et Stacey me jette un look dont je ne suis pas prêt d'oublier. Mais comme je disais un peu plus tôt : Who cares? En marchant vers l'aéroport, Bermudas me demande comment je me rend en ville. En taxi que je lui dis, sur de moi. Il m'offre un lift parce qu'il s'est loué un char. Bof, OK! que je lui réponds. Après ce que je viens de lire dans mon thriller policier du moment, je réalise que je suis peut-être en danger. Aucun problème, on jase de Jean et de ses ponts qui tombent, de la pluie et du beau temps et il me dépose directement à l'entrée de mon hôtel.
22:50 : La madame à la réception est tout sourire. Je crois que son shift achève.Elle jase. Pourtant, je ne vois pas de bermudas à l'horizon. Peut-être est-ce un déguisement et qu'elle fait tout de même parti de ladite famille. Je réussi à m'en sortir et après les formalités d'usage, je monte à ma chambre.
23:25 : Je m'installe au clavier pour vous raconter ce qui précède. Et je songe tranquillement pas vite à me glisser sous les draps et aller rejoindre Morphée pis toute sa gang de rêveurs.
Bonne nuit et bonne journée du lundi,
Alain (en Abitibi)
Pour les mordus de voyages exotiques, voici comment s'est déroulé mon escapade vers le nord ce soir.
18:30 : Départ de la maison. Gros bisous aux deux femmes de ma vie. Je suis un peu nerveux. Qui sait si je pourrai revenir?
19:00 : Arrivée à l’aéroport. Le stationnement « cheap » est à 16$ par jour. Un peu cher, non? Même pas au Centre-ville et même tarif et peut-être même un peu plus.
19:10 : L’enregistrement se fait via un guichet. Fini le temps ou on pouvait parler à quelqu’un! Oui, mais ma valise, je vous la refile comment? Par la fente de la carte de crédit? Pas évident. Enfin, vive le progrès et on verra bien. Ladite machine me reconnaît et me demande combien de valises je veux enregistrer. Je ne suis même pas capable de le faire avec mon nouveau DVD recorder encore et il faudrait que j’enregistre une valise? Quelle aventure! Une gentille madame tout de bleu vêtue avec une affreuse cravate ou foulard rouge s’approche de moi en constatant que je prle avec le guichet. Peut-être se cherche-t-elle un ami? Non, elle travaille pour Air Canada et m’informe de tous mes droits. Je n’ai pas les mains menottées et elles ne sont pas dans le dos, rassurez-vous. C’est maintenant fait. La file d’attente suivante maintenant. Je crois que quelqu’un va maintenant daigner me parler. C’est qu’ils la veulent vraiment cette foutue valise! Je n’ai pas collé le « sticker » correctement qu’il me dit dans un français digne de Taronto. On recolle le tout ensemble. Il semble s’inquiéter… de ma valise. Ça passera qu’il me dit finalement. J’ai de moins en moins confiance. Prochaine étape; une autre file d’attente.
19:25 : Passage à la sécurité. Là où on doit vider le contenu des valises qu’on garde, le mélanger dans un bacc à vaisselles avec nos souliers et notre ti change. Tout se passe relativement bien. Pas de problème avec l’ordi, le projecteur, la caméra, le CPAP. Mais ma petite bouteille d’eau pour le CPAP c’est trop! Elle ne passe pas, mais pas pentoute. Méchant racket que je trouve mais je n’en parle pas trop. J’aurais donc dû y penser. Je passe finalement à travers. Je me rhabille, la ceinture, les souliers, le jacket. Ils ne m’ont pas fait enlever mes bobettes, fiou!!!
20:00 : J’arrive à ma porte d’embarquement. Je prends quelques notes à défaut de prendre une bière à l’unique bar du milieu de la place et déjà pleins de monde, soit quatre personnes emplissant les quatre places disponibles. J’attends maintenant l’embarquement qui devrait débuter selon mon ptit cartron vers 20H20.
20:29 : On nous appelle pour l'embarquement. Un peu de retard en perspective! Le troupeau s'engouffre donc peu à peu dans l'antre du dragon de feu. (L'avion avait du jaune et du vert dessus, pas de farce!). Je trouve mon siège, le 3D dans l'allée dans lequel je me dépêche de m'éfouairer en espérant que je n'aurai pas de voisin qui va prendre de la place, jaser et placoter pour m'empêcher de lire mon James Patterson.
20:31 : Le voisin que je ne voulais pas arrive. Il porte des bermudas et a l'air tellement heureux de trouver un voisin pour jaser.
20:35 : pendant que Bermudas continue à me raconter sa vie, notre hôtesse, Stacey nous crache quelque chose à travers son micro qui fonctionne toujours aussi bien. Je réussis à comprendre dans la partie anglophone de son message que nous partirons bientôt et que nous volerons à une altitude de 20 000 pieds pendant une heure vingt-sept minutes. Non mais, Who cares que nous serons à 20 000 pieds? Au fait, pourquoi se font-ils toujours une fierté de nous dire à quelle hauteur nous volerons? Pour qu'on s'imagine mieux à quelle vitesse nous nous écraserons si jamais ça va mal? Que de questions.
20:49 : Stacey se la ferme et se dépêche de la boucler et nous voilà partis. Décollage avec 5 minutes d'avance. Bermudas jase toujours malgré le fait que j'aie commencer à regarder avec attention mon livre.
20:5? : Je n'ai plus l'heure mais Stacey vient de se lever pour nous préparer de magnifiques "appetizers" de toutes sortes de forme et pratiquement pas mangeables mais qu'on mange quand même pour passer un peu de temps. Bermudas semble faire dodo.
22:15 : à peu près, Stacey tente de nous informer de fermer tout ce qui est électronique car nous atterrirons très bientôt en zone abitibienne. Remonter tout ce qui est bas et ne faites pas trop le saut et tout le pataclan. Bermudas ouvre un oeil. Je remet les deux miens dans mon livre car Alex semble dans un autre pétrin duquel il se ressortira probablement mais vaut mieux ne pas le perdre de vue.
22:20 : Je fais un CR... de saut . Nous venons d'atterrir et je l'avais déjà oublier tellement j'étais ensorcelé par le récit de James et de son héroïque Alex. Stacey nous recrache un genre de message qu'elle a appris par coeur et qu'elle se dépêche de débiter pour ne pas l'oublier. En résumé, il fait frette et il mouille. Je détache ma ceinture quelques secondes avant que la lumière ne s'allume et Stacey me jette un look dont je ne suis pas prêt d'oublier. Mais comme je disais un peu plus tôt : Who cares? En marchant vers l'aéroport, Bermudas me demande comment je me rend en ville. En taxi que je lui dis, sur de moi. Il m'offre un lift parce qu'il s'est loué un char. Bof, OK! que je lui réponds. Après ce que je viens de lire dans mon thriller policier du moment, je réalise que je suis peut-être en danger. Aucun problème, on jase de Jean et de ses ponts qui tombent, de la pluie et du beau temps et il me dépose directement à l'entrée de mon hôtel.
22:50 : La madame à la réception est tout sourire. Je crois que son shift achève.Elle jase. Pourtant, je ne vois pas de bermudas à l'horizon. Peut-être est-ce un déguisement et qu'elle fait tout de même parti de ladite famille. Je réussi à m'en sortir et après les formalités d'usage, je monte à ma chambre.
23:25 : Je m'installe au clavier pour vous raconter ce qui précède. Et je songe tranquillement pas vite à me glisser sous les draps et aller rejoindre Morphée pis toute sa gang de rêveurs.
Bonne nuit et bonne journée du lundi,
Alain (en Abitibi)
Prep du jour
Salut,
Il y avait longtemps, hein? Depuis mercredi soir dernier sans nouvelles! J'imagine que certains d'entre vous s'inquiétaient? Un peu peut-être?
Jeudi soir, j'ai été un peu occupé par un 5@7 évolutif vers l'idée du souper. Il y avait le départ à la retraite de Francine. Oui oui, une retraite. Je me souviens que dans ma théorie de l'évolution, en tout cas, dans mon évolution à moi, j'ai été invité à des graduations, des mariages, des baptêmes... un peu plus tard, des funérailles. Peut-être est-ce le fait qu'il n'y ait moins de mariage de nos jours, moins de baptême aussi. J'en arrive quand même à croire que les événements auxquels j'assiste sont maintenant ... plus vieux. Je ne suis pourtant pas près de la retraite. Très important de considérer ici la nuance entre le "près" utilisé dans la phrase précédente et le mot vénéré et très utilisé par tous les scouts de ce monde : "prêt"! Je serais donc prêt mais pas du tout près. Quand même! Une retraite à fêter donc. Ce fut très bien. Beaucoup de monde qui est passé pour dire bonjour et bonne retraite. Un peu de bière, du vin aussi mais pas trop avec une bonne bouffe, c'est tout ce que ça prend pour le succès.
Vendredi matin très tôt, j'avais un départ à St-Jérôme pour un 18. Le golf est toujours aussi... agréable. D'une fois à l'autre, je me demande toujours ce qui fait que j'aime toujours cela.
Hier c'était la fête! Olivia, Charlyne et William fêtaient leurs anniversaires de naissance. À trois, ils n'avaient même pas accumulé la moitié de mon âge! Il y a de ces signes qui ne trompent pas je crois. Gros party donc sur le bord de la piscine dans le très chic quartier maintenant qu'on doit dire de Pierrefonds.
Aujourd'hui, réveil brutal. C'est que c'est pas chaud du tout tout d'un coup. L'automne qui arrive. Et moi qui s'en va dans le nord dès ce soir. J'espère qu'il n'y aura pas de neige. Hey Bro, qu'est-ce qu'ils annoncent dans ton coin pour demain? Bref, on verra bien.
Je quitte donc dans quelques heures (environ deux pour être plus précis dans mon imprécision) pour l'Abitibi. De retour dès demain soir pour un "late supper" à Montréal. Je vous reparle donc de mon voyage éclair en Abitibi avec des détails un peu plus tard.
Je passerai aussi cette semaine à Laval encore, Montréal et Gatineau pour terminer.
À la prochaine,
Alain
Il y avait longtemps, hein? Depuis mercredi soir dernier sans nouvelles! J'imagine que certains d'entre vous s'inquiétaient? Un peu peut-être?
Jeudi soir, j'ai été un peu occupé par un 5@7 évolutif vers l'idée du souper. Il y avait le départ à la retraite de Francine. Oui oui, une retraite. Je me souviens que dans ma théorie de l'évolution, en tout cas, dans mon évolution à moi, j'ai été invité à des graduations, des mariages, des baptêmes... un peu plus tard, des funérailles. Peut-être est-ce le fait qu'il n'y ait moins de mariage de nos jours, moins de baptême aussi. J'en arrive quand même à croire que les événements auxquels j'assiste sont maintenant ... plus vieux. Je ne suis pourtant pas près de la retraite. Très important de considérer ici la nuance entre le "près" utilisé dans la phrase précédente et le mot vénéré et très utilisé par tous les scouts de ce monde : "prêt"! Je serais donc prêt mais pas du tout près. Quand même! Une retraite à fêter donc. Ce fut très bien. Beaucoup de monde qui est passé pour dire bonjour et bonne retraite. Un peu de bière, du vin aussi mais pas trop avec une bonne bouffe, c'est tout ce que ça prend pour le succès.
Vendredi matin très tôt, j'avais un départ à St-Jérôme pour un 18. Le golf est toujours aussi... agréable. D'une fois à l'autre, je me demande toujours ce qui fait que j'aime toujours cela.
Hier c'était la fête! Olivia, Charlyne et William fêtaient leurs anniversaires de naissance. À trois, ils n'avaient même pas accumulé la moitié de mon âge! Il y a de ces signes qui ne trompent pas je crois. Gros party donc sur le bord de la piscine dans le très chic quartier maintenant qu'on doit dire de Pierrefonds.
Aujourd'hui, réveil brutal. C'est que c'est pas chaud du tout tout d'un coup. L'automne qui arrive. Et moi qui s'en va dans le nord dès ce soir. J'espère qu'il n'y aura pas de neige. Hey Bro, qu'est-ce qu'ils annoncent dans ton coin pour demain? Bref, on verra bien.
Je quitte donc dans quelques heures (environ deux pour être plus précis dans mon imprécision) pour l'Abitibi. De retour dès demain soir pour un "late supper" à Montréal. Je vous reparle donc de mon voyage éclair en Abitibi avec des détails un peu plus tard.
Je passerai aussi cette semaine à Laval encore, Montréal et Gatineau pour terminer.
À la prochaine,
Alain
mercredi 5 septembre 2007
Le Dieu TiVi
Je dois maintenant soit me rétracter ou en mettre davantage. Suite à mon intervention d'hier, j'ai eu droit à deux types de commentaires. Claude trouve que je deviens vieux. Par contre, Raymond trouve quant à lui qu'il y avait un peu de retenue dans ce commentaire. Pas assez acide selon lui.
Lorsque je l'ai débuté, j'étais sur une lancée mais différents événements ont fait que ladite lancée a pour ainsi dire ramollit. Ça se peut une lancée qui ramollit? Toujours est-il qu'à un moment donné, il s'est passé quelque chose à la TV. Premièrement, elle était allumée! Première erreur. Deuxièmement, une nouvelle série débutait à Series + : Bones. Une adaptation des aventures de Temperance Brennan, l'héroïne des romans de Kathy Reich. Je crois qu'on devra s'habituer au personnage télévisuelle mais il y a de l'avenir. Ma concentration se portant donc d'un écran vers un autre, ma montée de lait s'est transformée en yogourt... frette. D'où le ramollissement.
Mon frère a peut-être raison finalement, je dois vieillir un peu. Comme on dit, on s'en sauve pas. À toutes les 24 heures, il y a une journée de plus de passée!
Pour ce soir, je retourne donc à Venus et Jelena qui se débattent présentement comme deux diablesses dans l'eau bénite comme qu'on dit par chez nous.
Bye là,
Alain
Lorsque je l'ai débuté, j'étais sur une lancée mais différents événements ont fait que ladite lancée a pour ainsi dire ramollit. Ça se peut une lancée qui ramollit? Toujours est-il qu'à un moment donné, il s'est passé quelque chose à la TV. Premièrement, elle était allumée! Première erreur. Deuxièmement, une nouvelle série débutait à Series + : Bones. Une adaptation des aventures de Temperance Brennan, l'héroïne des romans de Kathy Reich. Je crois qu'on devra s'habituer au personnage télévisuelle mais il y a de l'avenir. Ma concentration se portant donc d'un écran vers un autre, ma montée de lait s'est transformée en yogourt... frette. D'où le ramollissement.
Mon frère a peut-être raison finalement, je dois vieillir un peu. Comme on dit, on s'en sauve pas. À toutes les 24 heures, il y a une journée de plus de passée!
Pour ce soir, je retourne donc à Venus et Jelena qui se débattent présentement comme deux diablesses dans l'eau bénite comme qu'on dit par chez nous.
Bye là,
Alain
mardi 4 septembre 2007
Sur la route de Montréal ou d'ailleurs!
Cette montée de lait est une présentation de Rogers, Bell, Fido, Telus et toute la bande de sans-fil qui pollue nos routes!
Combien de fois, disons aujourd'hui seulement, un ou une automobiliste vous a retardé, vous a coupé ou toute autre manoeuvre du genre qui aurait pu être dangereuse? Pensez-y un peu... Personnellement, je ne compte plus mais ça m'écoeure quand même.
J'avoue avoir été un utilisateur moi aussi mais j'ai probablement mûré un peu et je l'utilise maintenant avec modération et ce, en tout temps! Faute avouée, à moitié pardonnée?
La route en est maintenant plus que pleine. Les écoles aussi d'ailleurs! J'ai pris l'autobus l'autre soir je crois qu'il y avait plus de téléphone en marche dans l'engin qu'il n'y avait d'humains... C'est tout dire. Un fléau. Les gens en sont rendus à croire qu'ils ne peuvent se passer de ces petites choses. Il faut dire que de faire un appel dans une cabine coûte maintenant 50 cents. Peut-être est-ce moins dispendieux d'avoir un cellulaire attaché à soi (cancer inclus) finalement. N'empêche que la plupart de ces utilisateurs marient très mal son utilisation avec le volant. Pensez-y la prochaine fois que ça sonnera au volant.
Ça m'a fait du bien d'en parler!
Bye là,
Alain
Combien de fois, disons aujourd'hui seulement, un ou une automobiliste vous a retardé, vous a coupé ou toute autre manoeuvre du genre qui aurait pu être dangereuse? Pensez-y un peu... Personnellement, je ne compte plus mais ça m'écoeure quand même.
J'avoue avoir été un utilisateur moi aussi mais j'ai probablement mûré un peu et je l'utilise maintenant avec modération et ce, en tout temps! Faute avouée, à moitié pardonnée?
La route en est maintenant plus que pleine. Les écoles aussi d'ailleurs! J'ai pris l'autobus l'autre soir je crois qu'il y avait plus de téléphone en marche dans l'engin qu'il n'y avait d'humains... C'est tout dire. Un fléau. Les gens en sont rendus à croire qu'ils ne peuvent se passer de ces petites choses. Il faut dire que de faire un appel dans une cabine coûte maintenant 50 cents. Peut-être est-ce moins dispendieux d'avoir un cellulaire attaché à soi (cancer inclus) finalement. N'empêche que la plupart de ces utilisateurs marient très mal son utilisation avec le volant. Pensez-y la prochaine fois que ça sonnera au volant.
Ça m'a fait du bien d'en parler!
Bye là,
Alain
lundi 3 septembre 2007
L'escargot en action
Voilà! Rien à dire de plus. Une photo vaut mille mots, surtout dans ce cas là puisque la chose ne bouge pas tellement.
Marilou
La voilà! Marilou en action. C'est bien elle! Je la reconnaît. Elle venait de se trouver un nouvel ami. Une branche d'arbre, quel beau jouet. On peut en faire une épée, frapper quelqu'un avec, la transformer en baguette magique, ça n'a tout simplement pas de fin. Enfin, tant qu'elle n'en trouve pas une autre.
Les grands vents d'automne
Un vieux loup de mer m'a dit un jour : "Quand les grands vents débutent en septembre, pense à enlever la toile de ton gazebo sinon tu le ramasseras comme par les années passées chez le voisin et en plus tout tordu!"
Ça fait ben une couple de semaines que je me dit que je le ferai probablement à l'Action de Grâces mais qu'une petite voix me répète sans cesse ; "Tu vas le regretter!" J'ai donc pris le taureau par les cornes aujourd'hui parce que nous étions tranquillement assis à tenter de déguster un bon café sous le gazebo ... en plein vent après avoir été faire une petite balade au parce de l'Ile de la visitation et avoir vu quelques escargots en action! Alors que j'étais en pleine réflexion à propos de ces actions, la petite voix m'a donc dit: Il vente hein mon Alain? Était-ce une petite voix qui me provenait de l'intérieur de la conscience ou simplement celle de ma blonde qui se souvenait aussi de l'an passée lorsque nous étions ressortis un soir venteux et pluvieux pour tenter de ramasser les pots cassés. En fait, il ne s'agissait pas de pots mais bien de parties de mon gazebo qui s'était complètement retourné et qui était en train de traverser chez le voisin.
J'ai donc regardé mon café, au moins trois fois, avant de m décider et d'enlever la satanée toile. Par le fait même, la table-jouet de Marilou, la vraie table de "spétio" ainsi que les chaises ont été serrées... pour l'hiver, mais pas trop loin en cas que l'idée nous prendrait de vouloir profiter du soleil de l'automne avant que l'hiver ne pogne vraiment. Personnellement, je crois que l'automne devrait débuter le 21 août et se terminer le 21 novembre ou même à l'halloween parce qu'après ça, tout ce qu'on fait c'est d'attendre les ventes de Noël de toute façon. Pourquoi ne pas terminer l'hiver le 21 février. Me semble que ça nous aiderait à "toffer" un peu. Ça nous encouragerait. Anyway, comme le gouvernement devrait nous payer un voyage dans le sud par année, on pourrait tous le prendre dans ce temps-là et quand on reviendrait, en plein printemps, tout le monde serait joyeux et attendrait tranquillement les tulipes. Ça fait que l'été pourrait maintenant débuter à la fête de la Reine ou de Dollard ou des patriotes, appelez la comme vous le voulez. Tant qu'à y être, l'école pourrait se terminer à peu près dans ce temps là aussi, de toute fa^con, les kids commencent à se pogner le beigne et à avoir des sorties rendu là! De cette façon, nous serions plusse prêts à féter la St-Jean et la fête du Canada...
Je pense que je vais me présenter aux prochaines élections. Au fédéral, au provincial et même au minicipal! Avec un programme comme celui-ci, je serais dans une excellente position pour me retrouver dans l'opposition et pouvoir chialer tranquille! Faire une couple de mandat à chacun des paliers devrait pouvoir me donner quelques pensions intéressantes. J'y songe donc. Un vrai penseur ce gars là! Vraiment mûr pour la politique je trouve. Vous savez, penser sans trop agir.
Le vent peut donc ben nous mener loin des fois. Surtout dans la période des grands vents! Ça fait que... demain je retourne au travail! Montréal, Laval et Montréal pour finir avec le week-end encore! Ça revient donc bien souvent! :) La saison du golf tire à sa fin, je suis mieux d'en profiter vendredi encore. Tout d'un coup que la neige arrive en fin de semaine.
Bye,
Alain
Ça fait ben une couple de semaines que je me dit que je le ferai probablement à l'Action de Grâces mais qu'une petite voix me répète sans cesse ; "Tu vas le regretter!" J'ai donc pris le taureau par les cornes aujourd'hui parce que nous étions tranquillement assis à tenter de déguster un bon café sous le gazebo ... en plein vent après avoir été faire une petite balade au parce de l'Ile de la visitation et avoir vu quelques escargots en action! Alors que j'étais en pleine réflexion à propos de ces actions, la petite voix m'a donc dit: Il vente hein mon Alain? Était-ce une petite voix qui me provenait de l'intérieur de la conscience ou simplement celle de ma blonde qui se souvenait aussi de l'an passée lorsque nous étions ressortis un soir venteux et pluvieux pour tenter de ramasser les pots cassés. En fait, il ne s'agissait pas de pots mais bien de parties de mon gazebo qui s'était complètement retourné et qui était en train de traverser chez le voisin.
J'ai donc regardé mon café, au moins trois fois, avant de m décider et d'enlever la satanée toile. Par le fait même, la table-jouet de Marilou, la vraie table de "spétio" ainsi que les chaises ont été serrées... pour l'hiver, mais pas trop loin en cas que l'idée nous prendrait de vouloir profiter du soleil de l'automne avant que l'hiver ne pogne vraiment. Personnellement, je crois que l'automne devrait débuter le 21 août et se terminer le 21 novembre ou même à l'halloween parce qu'après ça, tout ce qu'on fait c'est d'attendre les ventes de Noël de toute façon. Pourquoi ne pas terminer l'hiver le 21 février. Me semble que ça nous aiderait à "toffer" un peu. Ça nous encouragerait. Anyway, comme le gouvernement devrait nous payer un voyage dans le sud par année, on pourrait tous le prendre dans ce temps-là et quand on reviendrait, en plein printemps, tout le monde serait joyeux et attendrait tranquillement les tulipes. Ça fait que l'été pourrait maintenant débuter à la fête de la Reine ou de Dollard ou des patriotes, appelez la comme vous le voulez. Tant qu'à y être, l'école pourrait se terminer à peu près dans ce temps là aussi, de toute fa^con, les kids commencent à se pogner le beigne et à avoir des sorties rendu là! De cette façon, nous serions plusse prêts à féter la St-Jean et la fête du Canada...
Je pense que je vais me présenter aux prochaines élections. Au fédéral, au provincial et même au minicipal! Avec un programme comme celui-ci, je serais dans une excellente position pour me retrouver dans l'opposition et pouvoir chialer tranquille! Faire une couple de mandat à chacun des paliers devrait pouvoir me donner quelques pensions intéressantes. J'y songe donc. Un vrai penseur ce gars là! Vraiment mûr pour la politique je trouve. Vous savez, penser sans trop agir.
Le vent peut donc ben nous mener loin des fois. Surtout dans la période des grands vents! Ça fait que... demain je retourne au travail! Montréal, Laval et Montréal pour finir avec le week-end encore! Ça revient donc bien souvent! :) La saison du golf tire à sa fin, je suis mieux d'en profiter vendredi encore. Tout d'un coup que la neige arrive en fin de semaine.
Bye,
Alain
dimanche 2 septembre 2007
Ça grandit donc vite!
Des fois je trouve donc que le temps passe trop vite! Regardez moi donc cette chose. Il n'y a pas si longtemps qu, on devait la prendre dans nos bras pour la déplacer et voilà qu'aujourd'hui elle a déjà l'air de cela. Trop vite!
Par un beau dimanche après-midi
Samedi dernier (hier) avait lieu la nième édition de l'Omnium de golf des Balleux. Ce fut très relevé comme compétition comme en témoigne le nombre de participants; deux. Je pourrais mentir en disant que seulement la crème de la crème pouvait y participer et c'est pour cette raison qu'il n'y avait pas foule.
Je ne mentirai toutefois pas, ce n'est pas mon genre. La véritable raison de la rareté des joueurs à cet événement est probablement le manque de membres au sein de cette famille. Premièrement des Balleux, il n'en pleut pas. Dans la lignée de Maurice, il n'y a que mon frère Claude et moi qui suivent directement. Dans la génération suivante, Claude a eu deux garçons, Guillaume et Frédéric qui sont aussi en Abitibi. De mon côté, il y a Marilou, une quatre ans. On pourrait tricher en ajoutant les conjoints pour faire du nombre mais comme ma très chère mère et Chantal ne jouent pas, ni d'ailleurs Guillaume ou Marilou, on n'ajouterait que Valérie, la conjointe de mon frangin au lot de Balleux. Comme la délégation de l'Abitibi n'a pu se pointer, ça diminue encore un peu les possibilités de foule. Maurice et moi nous sommes donc prêter au jeu de la finale (puisque nous n'étions que deux) et avons donc foulé le magnifique parcours du club de golf Verchères samedi matin. Comme c'était un tournoi, le club nous a même fait partir seuls sans personne d'autres pour nous nuire. Enfin, j'ose le croire. Il faisait très beau et le rythme quoique lent (un flag bleu sur le Kart du Marshall nous l'a reconfirmé à plusieurs reprises tout au long de la journée) fut quand même agréable. Après neuf trous, mon père m'a alors déclaré le plus sérieusement du monde que je lui donnais un handicap d'un coup par trous (ce qui signifie 18 à la fin de la journée selon de savants calculs de ma part et ce, sans même une calculatrice ou ou Excel à portée du doigt). Il m'en manquait donc déjà deux. Nous avons alors bataillé très fort jusqu'à la fin pour terminer (avec l'ajout de son handicap multiplié par mon calcul) avec trois coups de différence en sa faveur. La coupe est donc de retour à Verchères.
Je commence donc mon entrainement en vue de la prochaine édition dès maintenant. Quand il faut y aller, il faut y aller, disait un gars dans un très vieux film, je crois avec Terrence Hill! À l'an prochain donc, Momo! Et le message est par le fait même lancé aux adversaires de l'Abitibi. Soyez-y donc vous aussi!
Réponses
Je n'ai jamais eu autant de commentaires suite à un article que celui de jeudi soir dernier concernant un certain 5@7. Rectifions donc les faits:
Le week-end tire à sa fin. Plus qu'un petit lundi à se pogner le beigne et ce sera le retour au travail. Grosse semaine en perspective! :)
Je vous tire donc ma révérence pour ce soir et faites attention pour ne pas la recevoir en pleine face, car ça pince un peu!
Alain
Je ne mentirai toutefois pas, ce n'est pas mon genre. La véritable raison de la rareté des joueurs à cet événement est probablement le manque de membres au sein de cette famille. Premièrement des Balleux, il n'en pleut pas. Dans la lignée de Maurice, il n'y a que mon frère Claude et moi qui suivent directement. Dans la génération suivante, Claude a eu deux garçons, Guillaume et Frédéric qui sont aussi en Abitibi. De mon côté, il y a Marilou, une quatre ans. On pourrait tricher en ajoutant les conjoints pour faire du nombre mais comme ma très chère mère et Chantal ne jouent pas, ni d'ailleurs Guillaume ou Marilou, on n'ajouterait que Valérie, la conjointe de mon frangin au lot de Balleux. Comme la délégation de l'Abitibi n'a pu se pointer, ça diminue encore un peu les possibilités de foule. Maurice et moi nous sommes donc prêter au jeu de la finale (puisque nous n'étions que deux) et avons donc foulé le magnifique parcours du club de golf Verchères samedi matin. Comme c'était un tournoi, le club nous a même fait partir seuls sans personne d'autres pour nous nuire. Enfin, j'ose le croire. Il faisait très beau et le rythme quoique lent (un flag bleu sur le Kart du Marshall nous l'a reconfirmé à plusieurs reprises tout au long de la journée) fut quand même agréable. Après neuf trous, mon père m'a alors déclaré le plus sérieusement du monde que je lui donnais un handicap d'un coup par trous (ce qui signifie 18 à la fin de la journée selon de savants calculs de ma part et ce, sans même une calculatrice ou ou Excel à portée du doigt). Il m'en manquait donc déjà deux. Nous avons alors bataillé très fort jusqu'à la fin pour terminer (avec l'ajout de son handicap multiplié par mon calcul) avec trois coups de différence en sa faveur. La coupe est donc de retour à Verchères.
Je commence donc mon entrainement en vue de la prochaine édition dès maintenant. Quand il faut y aller, il faut y aller, disait un gars dans un très vieux film, je crois avec Terrence Hill! À l'an prochain donc, Momo! Et le message est par le fait même lancé aux adversaires de l'Abitibi. Soyez-y donc vous aussi!
Réponses
Je n'ai jamais eu autant de commentaires suite à un article que celui de jeudi soir dernier concernant un certain 5@7. Rectifions donc les faits:
- Réponse à Amos: Saches qu'en plus de nos parents qui vivent à Verchères, il y a aussi Réjeanne (non pas notre tante, une autre) qui se trouve à être la mère ainsi que chum de la nôtre ou compagne de marche ou du déjeuner du jeudi, de mon ancienne collègue de travail Colette (non pas notre tante encore qui prend aussi des marches avec notre maternelle ainsi que la Réjeanne précédemment mentionnée ainsi que plusieurs autres, mais bien une autre).
- Réponse au Chaperon non pas rouge mais de Montréal ainsi qu'à Amos encore : Merci pour vos réponses à ma questions sur le hockey. Ça confirme certains de mes doutes et ajoutent aussi certains atouts à mes cordes. Numéro 24 des Canadiens de Montréal : Mickey Redmond, Chuck Lefley, Lyle Odelein et Who Cares (lui, je ne l'ai toutefois pas connu par zemple).
- Réponse à anonymous et irréductible (que je n'ai toujours pas replacé) anonymous quant à elle est née à Verchères je crois mais actuellement dans le 450 du nord : Pour ce qui est de la bière que Peck, alias Montréal maintenant Laval, me doit. Elle est bien notée dans ma tête, l'est-elle encore dans celle de Peck? C'est une autre histoire.
- Réponse à moi-même qui se pose tout le temps des questions : tu es jeune encore Alain et un jour tu trouveras la réponse.
Le week-end tire à sa fin. Plus qu'un petit lundi à se pogner le beigne et ce sera le retour au travail. Grosse semaine en perspective! :)
Je vous tire donc ma révérence pour ce soir et faites attention pour ne pas la recevoir en pleine face, car ça pince un peu!
Alain
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