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Des fois, vaut mieux l'écrire que de le subir. Confucius

mercredi 7 décembre 2011

Du papier, beaucoup de papier!

Dans ce temps-ci, je lis plus que j’écris. Faut dire que j’ai de la matière! Non pas que j’aie trouvé un SUPER bon roman qui m’entraine à travers le monde via une multitude de personnages avec des noms bizarres auxquels j’ai beaucoup de problèmes à m’identifier tellement il s’éloigne de Tremblay. Non. L’histoire que je suis est un peu différente. Ça se passe pas mal au Québec, quoiqu’avec quelques incursions au pays de l’Oncle Sam à l’occasion. La vedette est une jeune fille, une fillette en fait au début, qui va et vient dans la vie accompagnée de ses parents, ses amis et ses …toutous.
Ben oui, vous l’aurez probablement deviné! En fait peut-être pas mais je vais quand même vous le dire. Je ne garderai pas tout cela secret jusqu’au matin de Noël, genre! On a beau être dans l’esprit du joyeux temps des fêtes avec tout ce qui vient avec, étant entre adulte, on peut se dire les vraies affaires, non? Un chat c’est un chat! Et moi, je parle, oups j’écris pour ne rien dire à l’heure, oups, la ligne actuelle.
Dans ma grande sagesse dernièrement, j’avais décidé de ramasser tous mes textes écrits sur le web depuis 2007, moment où j’ai débuté mon fameux blog. Pourquoi? Je ne saurais dire exactement la raison exacte qui m’a entrainé vers ce projet. Probablement une crainte de perdre tout cela parce que ça trainait ailleurs que chez moi. Quand ça traine chez moi, il y a toujours espoir, si mince soit-il, que je retrouve un truc en particulier dans ce foutoir mais si ce n’est pas chez nous? Quelqu’un pourrait décider quelque part dans une zone de temps précis que mon foutoir ce n’est tout simplement pas utile pour la société et que cette espace parce qu’il est bien question d’espace est requise pour autre chose. Qui sait? Moi, je ne le sais pas.  J’ai donc pris sur moi de récupérer tout cela et de tout inclure ces écrits dans un même document sur mon disque dur. Au fait, pourquoi est-il dur? Probablement parce qu’il n’est que traduit et que dans le temps qu’ils les ont créés, ils faisaient probablement référence aux « floppy disk » qui n’était pour leur part pas très rigide. Faudrait que j’écrive là-dessus pour les plus jeunes qui n’ont jamais eu la chance de voir ou encore mieux d’utiliser cette « chose »! Comme je m’égare encore, je vais revenir au vif du sujet qui nous préoccupe pour l’heure!
J’ai donc fait pleins de « copier-coller » du web vers chez moi dernièrement. Je me suis même demandé à un certain moment si j’avais le droit de voler cette information maintenant publique pour la transférer entre mes quatre murs. Trop de questions inutiles foisonnent encore et toujours dans ma tête.  Je me suis donc demandé la permission par écrit dans un courriel que je me suis envoyé! Ben quoi! Y a ben du monde qui se mette un cadeau en dessous de l’arbre en écrivant sur la notice : de moi à moi! Quand j’ai reçu le fameux courriel, c’est-à-dire environ une milliseconde plus tard, je l’ai ouvert et lu et après maintes réflexions – ç’a dû durer au moins cinq secondes – je me suis répondu que c’était ok en autant que je n’abusais pas de moi. Quand j’ai finalement reçu ma réponse, ça m’a tellement fait plaisir que j’ai eu l’élan pour poursuivre ma quête et la terminer. J’en ai pris du temps pour faire tout cela. Mon problème majeur fut surement que, de temps à autres, je m’arrêtais le temps d’un texte ou deux le temps d’un sourire en signe du passé. Je peux dire que j’en ai écrit des niaiseries depuis le temps! Je pense pouvoir dire que ma vie bloguienne va souvent par thème. À première vue, à titre d’exemple je pense à mon mois de cuisine en novembre l’an dernier ou même à février de cette année lorsque je me suis fait plaisir à tenter de réprimander la ville et ses cols bleus ou autres couleurs. Ces différents états d’âme ont quand même eu du bon. Je cuisine un peu plus qu’avant, bon, disons que j’ose plus qu’avant. De plus, ma croisade contre la ville – ainsi que plusieurs autres actions sans aucun doute – a quand même permis à notre quartier de retrouver sa patinoire avec pas de bande pour cette année et plusieurs autres, espérons-le!
Il y a aussi eu mes voyages un peu partout au Québec et ailleurs qui ont meublé la première période de ma vie bloguienne dans le temps que je sévissais sous l’égide de « Vingt milles lieus sur la route ». J’en ai vu des trucs dont je n’aurais tout simplement plus souvenir si je ne l’avais pas écrit. Je vous ai déjà dit que pour moi, la mémoire est une difficulté qui oublie? Probablement mais comme je ne m’en souvenais plus…
J’en suis donc à tenter de compiler tout cela. Plus de 300 pages de texte de toutes sortes. Je vais probablement en reparler éventuellement… à mesure que je me retrouverai dans ce fouillis!
Je dois maintenant y aller puisque le 12 mai 2008, je me promenais dans mon véhicule, les cheveux au vent…