Comme quelques questions et commentaires m’ont été adresses, je me devais de faire une petite mise à jour.
À mon cher frère qui n’avait pas reconnu la célébrité dans la « Pink Cadillac », je réponds : Voyons donc, c’est Chantal! Tu ne la reconnais pas? C’est fou ce que les « Special effects » des studios peuvent faire. À preuve, le char dans lequel elle est assise n’est même pas une Cadillac mais bien une vulgaire Pontiac. Anyway, j’ai bien hâte de retourner au bureau et d’utiliser ce portrait comme fond d’écran. Ça devrait me valoir quelques visites des « boys » de la pause.
Un message à matante Carole : C’est ben vrai que le « Fashion Island » c’est assez hot. On n’a rien acheté mais magasiner dans un mail à ciel ouvert, c’est spécial! J’imagine mal la tondeuse du gars en pleine action en plein milieu du mail.
À Julie de la Ville de Montréal, je souhaite aussi de très bonnes vacances dans le nord. Je suis certain que ce sera aussi très agréable.
À Danielle de Québec, non c’est impossible de se tanner de la vue, de la température et de tout ce qui est différent de chez nous. Et re-non, je ne suis pas pressé de revenir au bureau. Ne le prends surtout pas personnel, ce doit être la température.
À tous les autres qui ne m’ont rien dit mais qui y ont pensé, ben un beau BRAVO!
Quelques visites intéressantes s’en viennent. Hollywood et alentour, le zoo de San Diego et si la route veut bien être de notre côté, un vignoble du coin de Temecula valley.
J’ai vérifié dans le journal du coin ce matin ce qui se passait dans la National Hockey League. Vers la fin du cahier sportif, il y avait finalement un paragraphe portant sur notre sport national. La priorité sportive par ici est plutôt dirigée vers le basketball. Heureusement, RDS.ca me tient au courant des activités quotidiennes de mes Glorieux.
Pour le moment, c’est à peu près tout.
Bye là,
Alain
Qui suis-je?
vendredi 29 février 2008
jeudi 28 février 2008
Bord de mer
Aujourd’hui au programme : de la beach. Pas n’importe quelle beach par zemple. À 6 milles d’où nous sommes, il y a Laguna Beach. Pour les plus jeunes, 6 milles, c’est environ 10 km. Peut-être 9 finalement, on ne s’en formalisera pas. Les amérécains ont gardé le système anglais dans leurs mesures. Faut dire qu’ils parlent encore anglais, ça peut expliquer en partie leur décision de conserver ce système.
Dans les plans, il n’était absolument pas question d’oublier de se saucer le gros orteil à tout le moins dans l’océan Pacifique. Voilà! C’est fait. Un autre objectif vient d’être atteint dans l’actuelle vie que nous menons.
Nous nous sommes donc dirigés vers Laguna cet après-midi. Il n’y avait pas foule. Faut dire que les Californiens ainsi que toutes les autres races présentes ici et alentour recherchent plutôt de la chaleur lorsque c’est le temps de se faire « toaster » sur la plage. Quand je parlais du gros orteil précédemment, j’exagérais à peine. Plus que cela ce serait un peu maso. Précisons immédiatement que malgré le fait notre 4 ans ne soit pas le moins du monde maso, elle a quand même réussi à se mouiller de la tête aux pieds même si elle ne le voulait pas réellement. À l’occasion, il y a des mouvements qu’on ne veut pas vraiment faire mais sur le bord la plage, les mouvements sont parfois un peu dérangé par le déplacement de l’eau qui ne cesse finalement jamais. Ça fait que… elle est finalement tombée en pleine face dedans.
Pendant ce temps sur la plage, les rares promeneurs étaient soit des joggeurs, des chiens qui tiraient sur leurs maîtres ainsi que quelques maillots qui se faisait des « acroires » comme on dit. À 15 degrés c’est intéressant tant que Galarneau se pointe le nez pour nous accompagner. À un moment donné, il nous a quittés. Résultat : pas chaud pour la pompe à l’eau. Disons que la température aurait été beaucoup plus intéressante hier pour ce genre d’activité. Nous avons encore quelques jours pour se reprendre.
Je vous parlais de coucher de soleil il y a une couple de jours. Voici donc un exemple de ce que j’ai vu au bout de ma lentille. Une vraie carte d'assurance-maladie!
Dans les plans, il n’était absolument pas question d’oublier de se saucer le gros orteil à tout le moins dans l’océan Pacifique. Voilà! C’est fait. Un autre objectif vient d’être atteint dans l’actuelle vie que nous menons.
Nous nous sommes donc dirigés vers Laguna cet après-midi. Il n’y avait pas foule. Faut dire que les Californiens ainsi que toutes les autres races présentes ici et alentour recherchent plutôt de la chaleur lorsque c’est le temps de se faire « toaster » sur la plage. Quand je parlais du gros orteil précédemment, j’exagérais à peine. Plus que cela ce serait un peu maso. Précisons immédiatement que malgré le fait notre 4 ans ne soit pas le moins du monde maso, elle a quand même réussi à se mouiller de la tête aux pieds même si elle ne le voulait pas réellement. À l’occasion, il y a des mouvements qu’on ne veut pas vraiment faire mais sur le bord la plage, les mouvements sont parfois un peu dérangé par le déplacement de l’eau qui ne cesse finalement jamais. Ça fait que… elle est finalement tombée en pleine face dedans.
Pendant ce temps sur la plage, les rares promeneurs étaient soit des joggeurs, des chiens qui tiraient sur leurs maîtres ainsi que quelques maillots qui se faisait des « acroires » comme on dit. À 15 degrés c’est intéressant tant que Galarneau se pointe le nez pour nous accompagner. À un moment donné, il nous a quittés. Résultat : pas chaud pour la pompe à l’eau. Disons que la température aurait été beaucoup plus intéressante hier pour ce genre d’activité. Nous avons encore quelques jours pour se reprendre.
Je vous parlais de coucher de soleil il y a une couple de jours. Voici donc un exemple de ce que j’ai vu au bout de ma lentille. Une vraie carte d'assurance-maladie!
À la revoyure,
Alain
Alain
La vie à LA (1)
Bien le bonjour ou plutôt le bonsoir directement de la Califourmi!
Grosse journée aujourd’hui. Au programme : Universal Studios. À cela nous devions aussi ajouter le transport pour s’y rendre ainsi que celui pour le retour. Une première note au carnet à ce sujet : tous ceux qui ne demeurent pas vraiment à Montréal et qui me lisent j’aimerais seulement vous mentionner que le trafic à Montréal; y a rien là! Dans la région ici, les congestions ne sont pas dues à un accident ou un autre événement du genre. Elles sont simplement le résultat du nombre de véhicules que l’on peut retrouver sur la route. Batinsse qu’il y a du peuple sur la route ici! Nous avons dû consacrer près de quatre heures aujourd’hui à nos déplacements et il n’y avait qu’une destination à l’ordre du jour.
Qu’à cela ne tienne, le coût en valait la chandelle ou plutôt le chandelier au complet parce que Universal Studios, comme le dirait si vaillamment un ancien Penguin aujourd’hui célèbre en tant que propriétaire, c’est quelque chose! Étant assez amateur de cinéma, j’ai été très bien servi! Quand on entre dans l’antre des studios, on passe à une autre dimension; celle du cinéma. Il n’y a vraiment rien de réel là-bas. De toute façon lorsque l’on se déplace pour voir un bon film selon moi, ce devrait être ce que l’on recherche : l’irréel. De cette façon, il est rare que l’on puisse être déçu par le spectacle. Notre 4 ans a pu y rencontrer ses idoles de jeunesse comme Dora, Georges le curieux, Bob l’éponge, Shrek, son ami l’âne ainsi que non la moindre Fiona, la plus belle! Je ne sais où ils ont déniché cette fille mais la ressemblance avec la Fiona de la bande dessinée est tellement frappante. Bref, l’émerveillement pour la ptite ainsi que pour les quatre adultes qui l’accompagnait. Une seule ombre au tableau toutefois. Ma belle-mère qui s’emportait au départ en nous parlant du site, a fait un méchant « slapsus » comme le dirait si bien Ron de nos Grandes Gueules dont on s’ennuie un peu, en nous mentionnant qu’elle voulait absolument voir un film 3-X en pensant à un film 3-D. On a toutefois bien ri à ce sujet et malheureusement ce n’était même pas un film 3-D mais bien 4-D que l’on a vu. Disons qu’il y a des déceptions pires que cela dans la vie.
Voici un des portraits pris dans la journée :
Grosse journée aujourd’hui. Au programme : Universal Studios. À cela nous devions aussi ajouter le transport pour s’y rendre ainsi que celui pour le retour. Une première note au carnet à ce sujet : tous ceux qui ne demeurent pas vraiment à Montréal et qui me lisent j’aimerais seulement vous mentionner que le trafic à Montréal; y a rien là! Dans la région ici, les congestions ne sont pas dues à un accident ou un autre événement du genre. Elles sont simplement le résultat du nombre de véhicules que l’on peut retrouver sur la route. Batinsse qu’il y a du peuple sur la route ici! Nous avons dû consacrer près de quatre heures aujourd’hui à nos déplacements et il n’y avait qu’une destination à l’ordre du jour.
Qu’à cela ne tienne, le coût en valait la chandelle ou plutôt le chandelier au complet parce que Universal Studios, comme le dirait si vaillamment un ancien Penguin aujourd’hui célèbre en tant que propriétaire, c’est quelque chose! Étant assez amateur de cinéma, j’ai été très bien servi! Quand on entre dans l’antre des studios, on passe à une autre dimension; celle du cinéma. Il n’y a vraiment rien de réel là-bas. De toute façon lorsque l’on se déplace pour voir un bon film selon moi, ce devrait être ce que l’on recherche : l’irréel. De cette façon, il est rare que l’on puisse être déçu par le spectacle. Notre 4 ans a pu y rencontrer ses idoles de jeunesse comme Dora, Georges le curieux, Bob l’éponge, Shrek, son ami l’âne ainsi que non la moindre Fiona, la plus belle! Je ne sais où ils ont déniché cette fille mais la ressemblance avec la Fiona de la bande dessinée est tellement frappante. Bref, l’émerveillement pour la ptite ainsi que pour les quatre adultes qui l’accompagnait. Une seule ombre au tableau toutefois. Ma belle-mère qui s’emportait au départ en nous parlant du site, a fait un méchant « slapsus » comme le dirait si bien Ron de nos Grandes Gueules dont on s’ennuie un peu, en nous mentionnant qu’elle voulait absolument voir un film 3-X en pensant à un film 3-D. On a toutefois bien ri à ce sujet et malheureusement ce n’était même pas un film 3-D mais bien 4-D que l’on a vu. Disons qu’il y a des déceptions pires que cela dans la vie.
Voici un des portraits pris dans la journée :
Demain, on se repose un peu et on sort les Tonkas! Direction la plage. Ah oui, j’étais supposé vous montrer un beau coucher de soleil mais je crois que ça ira plutôt à demain puisque je commence à manquer un peu de jus pour ce soir.
Bye et bonne nuit!
PS. : Y-a-t-il eu beaucoup de neige au village? C’est juste pour savoir parce que je n’ai toujours pas de souffleuse!
Alain
Bye et bonne nuit!
PS. : Y-a-t-il eu beaucoup de neige au village? C’est juste pour savoir parce que je n’ai toujours pas de souffleuse!
Alain
mardi 26 février 2008
À la conquête de l'ouest
Euh salut,
Hier soir, après un périple des plus mouvementé, nous sommes finalement arrives à Newport Beach. Le vol initial était prévu pour un départ à 15h55 de Dorval en passant par Détroit pour se terminer à LAX vers 21h15, heure locale. La réalité fut cependant un peu différente. Nous sommes finalement partis de Dorval vers 18h00. Comme il aurait été trop tard pour attraper notre vol à Détroit en décollant à cette heure, nous avons donc transité par Minneapolis. Quel lieu de villégiature! En fait, on ne sait pas vraiment puisque nous sommes restés dans l’aéroport. Vers 21h15, heure locale, nous sommes décollés de la place pour se rendre vers la cité des anges. Vers 23h, toujours heure locale, nous arrivions à LAX. Donc, le temps de descendre un peu au sud jusque vers Newport Beach, il était à peu près 3 heures du mat. Nous essayons donc de nous faire à l’idée du « Pacific time » pour le moment. J’ai confiance que nous y arriverons bientôt. C’était assez comique de voir Marilou combattre le sommeil vers 16h00 aujourd’hui. Après une couple d’heures dans la piscine à jaser avec ses nouveaux amis amérécains et trois heures de décalage, elle était comme « faite à l’os »!
Bon il est environ 19h30 où je suis, mais en fait sur la côte est, il est déjà rendu 22h30. Mes Glorieux, malgré l’absence d’un nouveau joueur d’impact ont quand même trouvé le moyen d’après ce que je peux constater via le web d’en gagner une autre. Le jeune pourra enfin prendre la relève maintenant que le vieux fera maintenant vibrer les amateurs de la capitale américaine. Un français en plein milieu de Washington, faut le faire!
Toujours est-il qu’ici, nous avons eu une journée des plus agréables. Environ 23 degrés Celsius avec un soleil des plus éclatants. Intéressant! Le site sur lequel nous sommes est envoutant. C’est un peu comme un tournoi de golf. Si la température est de notre côté, c’est pratiquement un succès assuré. Mais ici, en plus de la très belle température, il y a des palmiers, une architecture un peu différente, l’océan Pacifique, la vue sur le golf. Bref, difficile de faire mieux.
Pour vous donner un aperçu, voici ce qu’on pouvait voir en ouvrant les rideaux ce matin.
Hier soir, après un périple des plus mouvementé, nous sommes finalement arrives à Newport Beach. Le vol initial était prévu pour un départ à 15h55 de Dorval en passant par Détroit pour se terminer à LAX vers 21h15, heure locale. La réalité fut cependant un peu différente. Nous sommes finalement partis de Dorval vers 18h00. Comme il aurait été trop tard pour attraper notre vol à Détroit en décollant à cette heure, nous avons donc transité par Minneapolis. Quel lieu de villégiature! En fait, on ne sait pas vraiment puisque nous sommes restés dans l’aéroport. Vers 21h15, heure locale, nous sommes décollés de la place pour se rendre vers la cité des anges. Vers 23h, toujours heure locale, nous arrivions à LAX. Donc, le temps de descendre un peu au sud jusque vers Newport Beach, il était à peu près 3 heures du mat. Nous essayons donc de nous faire à l’idée du « Pacific time » pour le moment. J’ai confiance que nous y arriverons bientôt. C’était assez comique de voir Marilou combattre le sommeil vers 16h00 aujourd’hui. Après une couple d’heures dans la piscine à jaser avec ses nouveaux amis amérécains et trois heures de décalage, elle était comme « faite à l’os »!
Bon il est environ 19h30 où je suis, mais en fait sur la côte est, il est déjà rendu 22h30. Mes Glorieux, malgré l’absence d’un nouveau joueur d’impact ont quand même trouvé le moyen d’après ce que je peux constater via le web d’en gagner une autre. Le jeune pourra enfin prendre la relève maintenant que le vieux fera maintenant vibrer les amateurs de la capitale américaine. Un français en plein milieu de Washington, faut le faire!
Toujours est-il qu’ici, nous avons eu une journée des plus agréables. Environ 23 degrés Celsius avec un soleil des plus éclatants. Intéressant! Le site sur lequel nous sommes est envoutant. C’est un peu comme un tournoi de golf. Si la température est de notre côté, c’est pratiquement un succès assuré. Mais ici, en plus de la très belle température, il y a des palmiers, une architecture un peu différente, l’océan Pacifique, la vue sur le golf. Bref, difficile de faire mieux.
Pour vous donner un aperçu, voici ce qu’on pouvait voir en ouvrant les rideaux ce matin.
Demain matin, nous avons comme objectif de nous rendre vers « Universal Studios » pour aller serrer la pince à ce bon vieux Shrek et toute sa petite famille.
Ce soir, j’ai aussi pris quelques clichés d’un coucher de soleil sur l’océan avec en arrière-plan l’ile de Catalina. Demain (ou quand ça va adonner), je vous montre cela.
Je m’en vais donc faire mon petit dodo.
Bye là,
Alain
Ce soir, j’ai aussi pris quelques clichés d’un coucher de soleil sur l’océan avec en arrière-plan l’ile de Catalina. Demain (ou quand ça va adonner), je vous montre cela.
Je m’en vais donc faire mon petit dodo.
Bye là,
Alain
mardi 12 février 2008
Un mardi soir à deux pour un
Ecomuseum
Tel que stipulé à l’alinéa 26-b de l’article 34 de la convention de Genève ou alentour de par là-bas, il était mention dernièrement sur ces ondes que nous passions par l’Écomuseum pour aller voir ce qui se passe par là.
Comme nous étions en infraction Chantal et moi, il a fallu corriger le tir. En fin de semaine donc, la petite a eu gain de cause.
Voici donc une couple de portraits faisant foi de cet événement du week-end.
L’endroit est très intéressant, nous y retournerons surement. Pas trop dispendieux et un paquet de petites bebittes qu’on peut voir 12 mois par année.
Mont-Laurier
Par ailleurs, je me trouve présentement en plein milieu de … Mont-Laurier. Je dois y donner un cours demain matin. La ville de Mont-Laurier est située en plein milieu… de la route 117 entre Montréal et l’Abitibi. Au sud, le lieu le plus connu est probablement Mont-Tremblant à environ une heure de route et si on se perd vers le nord, la prochaine étape digne de ce nom serait probablement Val d’Or. Oui, une des deux villes représentantes de la LHJMQ. Je n’irai pas vérifier parce qu’elle est à plus de trois heures de route. Vaut mieux ne pas s’y perdre. Je crois que je devrais me faire un pense-bête pour me rappeler de tourner vers le sud, plutôt sud-est, demain pour le retour.
13 jours, quasiment 12…
En passant, notre séjour annuel vers les USA se mettra en branle dans les prochains jours. Cette année, contrairement aux années précédentes, nous nous rendrons dans la patrie (en fait, ce n’est pas vraiment sa patrie mais comme elle l’a adoptée à majorité, on peut parler de patrie) d’Arnold Scharzenneger (Est-ce la bonne façon d’écrire le nom du gouverneur, je n’en suis pas certain). Eh oui! La Califourmi. Oups! C’est le nom dont notre 4 ans et demie de Marilou l’a maintenant affublée. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais malgré le fait que nous parlions tout le temps Chantal et moi de la Californie, pour Marilou il s’agit de la Califourmi! Probablement en l’honneur du film « Bugs » j’imagine. J’ai bien hâte d’en reparler. Dans le collimateur, il y a évidemment la plage, les studios de cinéma, Hollywood, la boutique American Girl et bien d’autres, sans oublier le zoo de San Diego qui fait partie de nos priorités. OK, la priorité de Marilou, mais disons que ça nous intéresse nous aussi beaucoup.
D’ici là, quelques destinations locales m’attendent de pied ferme.
La game commence dans pas long, ça fait que…
Beubye!
Tel que stipulé à l’alinéa 26-b de l’article 34 de la convention de Genève ou alentour de par là-bas, il était mention dernièrement sur ces ondes que nous passions par l’Écomuseum pour aller voir ce qui se passe par là.
Comme nous étions en infraction Chantal et moi, il a fallu corriger le tir. En fin de semaine donc, la petite a eu gain de cause.
Voici donc une couple de portraits faisant foi de cet événement du week-end.
L’endroit est très intéressant, nous y retournerons surement. Pas trop dispendieux et un paquet de petites bebittes qu’on peut voir 12 mois par année.
Mont-Laurier
Par ailleurs, je me trouve présentement en plein milieu de … Mont-Laurier. Je dois y donner un cours demain matin. La ville de Mont-Laurier est située en plein milieu… de la route 117 entre Montréal et l’Abitibi. Au sud, le lieu le plus connu est probablement Mont-Tremblant à environ une heure de route et si on se perd vers le nord, la prochaine étape digne de ce nom serait probablement Val d’Or. Oui, une des deux villes représentantes de la LHJMQ. Je n’irai pas vérifier parce qu’elle est à plus de trois heures de route. Vaut mieux ne pas s’y perdre. Je crois que je devrais me faire un pense-bête pour me rappeler de tourner vers le sud, plutôt sud-est, demain pour le retour.
13 jours, quasiment 12…
En passant, notre séjour annuel vers les USA se mettra en branle dans les prochains jours. Cette année, contrairement aux années précédentes, nous nous rendrons dans la patrie (en fait, ce n’est pas vraiment sa patrie mais comme elle l’a adoptée à majorité, on peut parler de patrie) d’Arnold Scharzenneger (Est-ce la bonne façon d’écrire le nom du gouverneur, je n’en suis pas certain). Eh oui! La Califourmi. Oups! C’est le nom dont notre 4 ans et demie de Marilou l’a maintenant affublée. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais malgré le fait que nous parlions tout le temps Chantal et moi de la Californie, pour Marilou il s’agit de la Califourmi! Probablement en l’honneur du film « Bugs » j’imagine. J’ai bien hâte d’en reparler. Dans le collimateur, il y a évidemment la plage, les studios de cinéma, Hollywood, la boutique American Girl et bien d’autres, sans oublier le zoo de San Diego qui fait partie de nos priorités. OK, la priorité de Marilou, mais disons que ça nous intéresse nous aussi beaucoup.
D’ici là, quelques destinations locales m’attendent de pied ferme.
La game commence dans pas long, ça fait que…
Beubye!
Alain
dimanche 10 février 2008
WWW. ... .ca
Dernièrement, j'ai délaissé quelque peu mon blog parce que j'étais occupé à "checker" une autre patente que ma blonde m'a fait découvrir sur le web : Flickr.com. Il s'agit d'un site où l'on peut déposer des photos en vue de les partager avec les amis. J'en étudiais donc les possibilités qui sont, soit dit en passant, très intéressantes pour les preneux de portraits comme moi, mais surtout ma blonde. Vous en avez donc un aperçu à différentes places sur mon blog depuis aujourd'hui. Le fait que je me promenais sur le web ainsi pour une raison particulière me fait aussi penser que les générations qui nous poussent sont définitivement différentes de ce que nous avons connus. Enfin, je parle pour moi.
Me voilà définitivement rendu dans l'ère de la génération .com. Aujourd'hui, notre 4 ans et demie, parce qu'elle en est rendue là et très fière de nous le rappeler, nous a lâché cela en plein milieu d'une phrase.
- www.ca
Je dois avouer que cela a attiré mon attention un peu plus que le flot régulier et très constant de ses paroles habituelles. Ce n'est pas que je l'écoute en diagonal ou quoique ce soit du genre mais étant donné la quantité de ce qui sort de cette petite bouche là, il y a des moments où, je dois l'admettre, mon corps et surtout mon attention, sont plutôt portés vers d'autres sujets. Donc, la petite chose, notre Marilou nationale, jacassait à propos de tout et de rien, lorsque tout à coup, sans crier gare ni attention, elle mentionne w w w... mon oreille droite étant tout à coup aux aguets, je lui mentionne tout bonnement, comme cela : "Pardon?"
Et elle de me répéter tout candidement : "W W W" comme si encore une fois elle venait de réaliser que je l'avais écouté de l'oreille gauche, celle qui entend moins bien que je lui dis souvent. Je lui répond alors du tac au tac :
- WWW, hein? Où as-tu entendu cela donc?
Parce que, malgré ses premiers pas sur la machine, je ne croyais pas cette dernière rendue au stade de surfer sur le NET encore. Ou du moins j'espérais peut-être.
- C'est à la télévision (oui, elle utilise le bon mot même si son père ne cesse de répéter le mot tivi), papa. C'est le cochon avant Toc toc toc...
Bon, un cochon maintenant! Rien pour me rassurer. Quoique avant Toc toc toc devrait être rassurant puisque cette émission pour enfants passe à notre télé d'état, enfin Télé-Québec, et à une heure d'affluence pour la catégorie "jeunes", c'est-à-dire 17h30 à tous les jours en semaine et que c'est généralement pas trop violent et rigolo. En fait, assez rigolo pour qu'une 4 ans et demie cesse de respirer, de bouger et pratiquement de vivre pendant une demie-heure (calme avant la tempête, j'imagine).
- Le cochon? Quel cochon? Qu'est-ce que ça dit après le www donc?
Erreur monumentale, Alain! Avec trois questions dans la même phrase, je risque de n'avoir qu'une seule réponse et à la question qu'elle voudra bien me répondre... Mais c'est trop tard. Espérons qu'elle choisira la bonne.
- Ben papa, www.ca!
Comme si c'était évident! Faudra que je me remette à jour, j'en ai perdu côté techno je crois. Il me semble qu'il devrait y avoir quelque chose entre les 3 w et le .ca? Non?
- Marilou, dis-moi: il n'y a rien entre les 3 w et le .ca?
- M'en rappelle pas!
End of discussion. Elle est déjà rendue à autre chose. Faut dire que nos conversations père-fille se terminent déjà de cette façon à l'occasion. Ça promet pour l'explication des choses de la vie ou des limitations qu'un père voudrait pour sa fille squi sera un jour, adolescente!
Génération .com, hein? Surement pas pour la communication en TK. Dire que l'école n'est même pas encore commencée. Et je ne sais même pas si mon ami Norton a un anti-quelque chose contre cela. Faudra que je pose la question sur leurs FAQ au PC.
Bon ben, je vous laisse moi là, j'ai un paquet de choses à faire soudainement. Entre autres choses, vérifier l'état de mon pare-feu, où en est mon contrôle parental et tout le tralala qui fera de moi un père prêt à toute éventualité, sauf celle qui surviendra au moment jugé opportun.
Me voilà définitivement rendu dans l'ère de la génération .com. Aujourd'hui, notre 4 ans et demie, parce qu'elle en est rendue là et très fière de nous le rappeler, nous a lâché cela en plein milieu d'une phrase.
- www.ca
Je dois avouer que cela a attiré mon attention un peu plus que le flot régulier et très constant de ses paroles habituelles. Ce n'est pas que je l'écoute en diagonal ou quoique ce soit du genre mais étant donné la quantité de ce qui sort de cette petite bouche là, il y a des moments où, je dois l'admettre, mon corps et surtout mon attention, sont plutôt portés vers d'autres sujets. Donc, la petite chose, notre Marilou nationale, jacassait à propos de tout et de rien, lorsque tout à coup, sans crier gare ni attention, elle mentionne w w w... mon oreille droite étant tout à coup aux aguets, je lui mentionne tout bonnement, comme cela : "Pardon?"
Et elle de me répéter tout candidement : "W W W" comme si encore une fois elle venait de réaliser que je l'avais écouté de l'oreille gauche, celle qui entend moins bien que je lui dis souvent. Je lui répond alors du tac au tac :
- WWW, hein? Où as-tu entendu cela donc?
Parce que, malgré ses premiers pas sur la machine, je ne croyais pas cette dernière rendue au stade de surfer sur le NET encore. Ou du moins j'espérais peut-être.
- C'est à la télévision (oui, elle utilise le bon mot même si son père ne cesse de répéter le mot tivi), papa. C'est le cochon avant Toc toc toc...
Bon, un cochon maintenant! Rien pour me rassurer. Quoique avant Toc toc toc devrait être rassurant puisque cette émission pour enfants passe à notre télé d'état, enfin Télé-Québec, et à une heure d'affluence pour la catégorie "jeunes", c'est-à-dire 17h30 à tous les jours en semaine et que c'est généralement pas trop violent et rigolo. En fait, assez rigolo pour qu'une 4 ans et demie cesse de respirer, de bouger et pratiquement de vivre pendant une demie-heure (calme avant la tempête, j'imagine).
- Le cochon? Quel cochon? Qu'est-ce que ça dit après le www donc?
Erreur monumentale, Alain! Avec trois questions dans la même phrase, je risque de n'avoir qu'une seule réponse et à la question qu'elle voudra bien me répondre... Mais c'est trop tard. Espérons qu'elle choisira la bonne.
- Ben papa, www.ca!
Comme si c'était évident! Faudra que je me remette à jour, j'en ai perdu côté techno je crois. Il me semble qu'il devrait y avoir quelque chose entre les 3 w et le .ca? Non?
- Marilou, dis-moi: il n'y a rien entre les 3 w et le .ca?
- M'en rappelle pas!
End of discussion. Elle est déjà rendue à autre chose. Faut dire que nos conversations père-fille se terminent déjà de cette façon à l'occasion. Ça promet pour l'explication des choses de la vie ou des limitations qu'un père voudrait pour sa fille squi sera un jour, adolescente!
Génération .com, hein? Surement pas pour la communication en TK. Dire que l'école n'est même pas encore commencée. Et je ne sais même pas si mon ami Norton a un anti-quelque chose contre cela. Faudra que je pose la question sur leurs FAQ au PC.
Bon ben, je vous laisse moi là, j'ai un paquet de choses à faire soudainement. Entre autres choses, vérifier l'état de mon pare-feu, où en est mon contrôle parental et tout le tralala qui fera de moi un père prêt à toute éventualité, sauf celle qui surviendra au moment jugé opportun.
Mes photos sur Flickr
Enfin, quelques-unes d'entre elles seulement. Celles-là proviennent de mon tag "sunset".
Site très intéressant.
Site très intéressant.
samedi 2 février 2008
Le jour de la marmotte
Selon les principales intéressées (1 en Pennsylvanie, la plus célèbre et 2 autres en Canada (Ontario et Nouvelle-Écosse)), le printemps s'en vient au Canada (2 voix pour) mais pas tout de suite aux states (1 voix contre). Ça doit être une question d'économie. Doubliou n'a pas dû investir assez de billets verts pour que sa marmotte soit tentée de ressortir de son trou. Enfin, nous verrons bien.
Je me demandais, encore.
Devinez ce qu’on entendra dans les corridors des différents bureaux du centre-ville et d’ailleurs lundi matin?
- Hey salut! Passé une belle fin de semaine? Qu’est-ce t’a fait?
- Ben j’ai pelleté un peu samedi (comprendre : j’ai pelleté en TA…). Dimanche, j’ai checké un peu le SuperBowl (comprendre : je l’aurais ben écouté au complet mais…). Et toi?
- Ben, moi aussi! (comprendre : moi aussi j’aurais préféré moins pelleter et plus de SuperBowl!).
Un peu la réalité qu’on doit vivre pendant une fin de semaine de février typique de notre Québec national. Imaginez un peu ce que la même conversation aurait pu avoir l’air six mois plus tard ou plus tôt…
- Hey salut! Passé une belle fin de semaine? Qu’est-ce t’a fait?
- Ben j’ai tondu mon gazon un peu samedi (comprendre : il repousse tout le temps le TA…). Dimanche, je suis allé dans le nord (comprendre : je serais allé ailleurs, mais…). Et toi?
- Ben, moi aussi, ça ressemble à cela! (comprendre : je n’ai pas de gazon parce que je suis locataire et j’aurais bien aimé monter dans le nord mais comme mon char est en panne…).
Ça n’a pas l’air mieux, non? Éternels insatisfaits vous pensez? Dites vous que bien des gens pensent comme cela parce la plupart des gens sont tellement blasés. Pourquoi ne pas apprécier le petit bonheur qu’on a entre les mains. Prenez-moi, par exemple. Samedi matin à mon réveil, parce qu’on peut appeler cela un réveil quand ma 4 ans de Marilou apparaît comme une bombe dans notre chambre en criant : « C’est le jour, c’est le jour! » et sans attendre de réponse de ma part ou de celle de ma blonde, peut-être un grognement ou deux de ma part, j’oubliais. « Je peux avoir du jus d’orange? Je veux écouter Dora! Je veux aller faire pipi avant… Et vlan! Elle n’est déjà plus là quoiqu’elle attende encore des réponses à ses demandes. Au moment ou je songe à me retourner dans mon lit, j’entends : « S’il vous plaîîîîîît ? » Le fameux mot magique. On ne peut simplement pas y résister. Je bondis de mon lit. Le jus, la Tivi et elle est contente! Oui oui, elle sait maintenant quoi faire avec le pipi, seule. Tant mieux, quelle belle évolution.
Je m’approche donc du store du salon pour constater les dégâts que la nuit et la charrue ont pu créer pendant mon sommeil. Deux sessions de pelles furent nécessaires hier soir mais ce matin rien n’y paraît. Un bon déjeuner et hop! Ce sera bon pour mon cardio. Pauvre organe que ce cœur qui est le mien. Une méchante pompe! Une couple d’heures de pelle et je serai un homme neuf. En fait, c’est ce que je pensais encore ce matin. Le type de neige que l’on a reçu, un genre de sel, du gros sel. Pas du sucre, ce serait plus sympathique. Le gros sel donc, c’est super pesant! Et mon dos lui qui en supporte déjà un peu trop, pas beaucoup mais un peu trop. Bon mélange pour une petite douleur qui rappelle déjà de bons souvenirs qui se sont passés ce matin en famille lorsque ma blonde et ma moi tentions de se dégager un passage vers le semblant de rue qui prévalait après la petite tempête qui en avait fait un environnement d’après conflit nucléaire. L’état de notre système de déneigement public montréalais commençait à me préoccuper ce matin jusqu’à ce que je passe par Laval. Ça m’a beaucoup rassuré. Je considère donc qu’il en est tombé beaucoup. Encore une fois. Dire qu’on en a encore pour au moins une semaine avant de revoir la rue dans son entièreté. Avril reviendra un jour, l’espoir fait vivre.
Alors, si jamais vous me rencontrez dans un corridor lundi matin et que vous me demandez : « Hey salut! Passé une belle fin de semaine? Qu’est-ce t’a fait? »
Ne soyez surtout pas surpris si je vous réponds : « Ben j’ai pelleté un peu samedi (comprendre : Quelle belle activité familiale…). Dimanche, j’ai checké le SuperBowl (comprendre : c’est mon sport préféré, alors il n’était pas question que je manque cela…). Et toi? ».
Ça fait qu’en ce beau samedi soir, une ben belle fin de semaine à date. Nos Glorieux ont déjà deux points en banque contre la grosse pomme, version Uniondale. Une autre possibilité de points contre la même pomme, version centre-ville demain en après-midi. Entre-temps, on devrait passer par l’Écomuseum en famille pour y visiter les petites bêtes qui y vivent en permanence. La journée devrait se terminer par une session TiVi, pas en HD encore quoiqu’on y pense un peu.
Ce n’est pas des beaux ptits bonheur tout cela?
Bonne fin de fin de semaine ou bon début de semaine, dépendamment quand vous lirez ces lignes.
Bye là,
Alain
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