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jeudi 2 avril 2009

Pot-pourri du printemps

Le retour du printemps

La guerre à l’hiver est déclarée officiellement. Au Tim la semaine dernièere, ils ont enlevé les tapis d’hiver. Ça glisse mieux! Il y a aussi certains montréalais que je ne nommerai pas qui se sont débarrassés de leurs bottes, de leurs foulards, de leurs tuques ou chapeaux et même de bas dans certains cas. Le vieil adage qui dit : « En avril, ne te découvres pas d’un fil! » ne fonctionne même plus puisque tout ce dont je parle, ou plutôt écris s’est passé sous mes yeux en plein mois de mars. Et pour terminer cet énoncé concernant l’arrivée du printemps, j’ai cru déceler certaines odeurs émanant de nos vertes campagnes qui ne sont pas encore vertes. Genre fumier de quelque chose dont je ne nommerai pas la provenance mais qui ressort à partir du printemps puisque l’hiver, comme le reste de la planète Québec, ça gèle.

La femme à barbe

Je dois aussi me confier à propos d’un autre sujet qui me travaille un peu. Au Tim, encore, la madame qui me sert mon café qui est supposé contenir un cadeau en dérrroulant le rrrrebord qu’on ne déroule pas, soit dit en passant, mais qu’on gruge avec les dents d’en bas because c’est trop difficile à faire avec les doigts mais cela n’est que mon opinion qui ne vaut pas grand-chose dans les sondages actuels… Toujours est-il que la madame en question a une moustache. Je veux dire, une vraie moustache! Ça marque toujours un peu le matin au moment d’acheter son café. Après la femme à barbe du cirque qu’on n’a jamais vue, voici la femme à moustache du Tim!

Le temps des sucres

La cabane à sucre maintenant. Vu le temps de l’année, c’est de circonstance d’en parler. À la shoppe donc, une cabane à sucre était organisée. Je me suis donc dit qu’une fois par année, il est de bon ton d’y aller. Ma 5 ans est surement d’accord! J’en ai donc parlé avec ma blonde et elle m’a répondu que la dernière fois qu’on y était allés, elle était enceinte. C’est fou comme le temps passe. Je n’avais même pas réalisé qu’il y avait déjà au moins cinq ans que je ne m’étais pas régalé d’un bon repas mélangé qui goûte toute la même affaire! Voyez-vous, je suis du genre à ne pas nécessairement apprécier le sucré avec le salé. Ils appellent cela la haute cuisine quand ça se passe dans la même assiette. C’est probablement beaucoup plus bas que ça se passe dans la mienne. Éducation traditionnelle oblige j’imagine. La soupe, la viande pis les patates et pour terminer le dessert. Un vrai par zemple. Genre de la tire sur la glace pas trop froide comme à la shoppe ce midi. Il ne faut pas trop mélanger l’ordre dans lequel tout cela se pointe sur la table car ça me dérange un peu. Je m’améliore et j’y travaille mais ce n’est pas facile. Samedi donc, on se retrouve donc toute la ptite famille pour un joyeux repas du temps des sucres avec les amis du bureau. La joie!

La flanelle, la très-Sainte

Il y a aussi nos amis Les Glorieux qui me chicotent en ce moment. Vont-ils faire les séries? J’espère un peu car ça fait quelque chose à jaser pendant les temps morts. On peut aussi en parler sans les Glorieux mais c’est moins drôle un peu. De toute façon, une source généralement bien informée que je ne nommerai pas mais qui s’appelle Raymond me dit que Carey est retombée dans sa bulle et qu’on est OK pour un bout de temps. Il prédit même des ailes gratuites ce soir! Bon, carey a pogné un ptit rhume apparemmant mais enfin…

Camps de jour

À la maison, on se prépare fébrilement – pas si fébrile que cela quand même – aux camps de jour qui débuteront cet été pour la 5 ans de la maison. Le magasinage est fait mais le contenu fatigue un peu le papa en moi. Je commence donc ma carrière de « papa-qui-doit-apprendre-à-laisser-aller-un-peu-des-fois-mais-pas-trop-souvent-pour-épargner-son-ti-cœur… »

Downtown

Jai aussi entendu dire qu’il y a des machines qui vomissent de l’argent mais pas le bon au centre-ville. Ma source à ce sujet c’est Denise mais je ne dois surtout pas le dire car ça doit rester secret tant que c’est secret. J’en reparle quand ce ne sera plus secret

Je joue toujours au barman à temps perdu le jour et c’est pourquoi je me défoule en ces lieux.

Alain

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