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Des fois, vaut mieux l'écrire que de le subir. Confucius

mardi 3 mars 2009

Bravo...

Il y avait longtemps que j’avais sévit en ces lieux. Je me devais de réagir avant de ne plus agir. Comme mon mandat de voyageur est terminé et que je suis maintenant des plus sédentaires depuis un peu plus d’une semaine, j’étais en plein dilemme. Comment discourir de voyages et de déplacements parce le titre de mon blogue en fait état sans toutefois me déplacer sur les routes du Québec ou d’ailleurs sur une base régulière.

J’ai donc créé un comité consultatif sur le sujet qui est composé de moi-même, ma conscience, mes dix doigts et sur une base intérimaire et à temps partiel, mon cerveau pour évaluer la pertinence du site, ses incidences sur la société en général ainsi que l’influence que le tout pourrait avoir sur la migration des oies blanches le printemps prochain, si printemps il y a évidemment.

Après maintes discussions à n’en plus finir considérant le nombre de membres du comité. Le fameux dit comité en est arrivé à la conclusion suivante : « Le blogue nommé Vingt milles lieux… sur la route pourra continuer de publier des écrits non-essentiels au bien-être et à l’équilibre de la société en général si toutefois, dans un délai raisonnable de moins de 365 jours ouvrables il se débaptise pour ainsi retrouver dans une cure de jeunesse incommensurable un nom plus approprié. » Ça n’a vraiment pas été facile d’en arriver là. Je témoignerais bien des travaux mais une clause de non-divulgation m’a été imposée par les membres du comité pour une période plus ou moins égale à la somme de ses parties, ça fait que…

Je peux toutefois raconter un peu ce qui se passe dans mon « je » actuellement. Le tout se résume à quelques points sur lesquelles j’élaborerai mais pas trop quand même!
BMWÉpices et saveursL’académie des starsLa vie de barmanLes danseuses exotiques
Je trouve que ça augure bien. La BMW, comment dire? C’est un peu ma nouvelle vie. Non, je n’ai pas gagné à la loterie même si j’y pense un peu, à l’occasion. Tout le monde le sait, enfin presque tout le monde mais l’acronyme BMW est souvent utilisé pour Bus, Métro & Walk et comme j’ai récemment troqué mon véhicule moteur pour cette combinaison dans un but tout à fait environnemental, économique et pratico-pratique, je me dois de vous avouer que j’ai maintenant adhérer à cette secte sur une base quotidienne depuis plus d’une semaine sans tricher. Je crois entendre fuser quelques « Bravo Alain! » dans cette salle qui n’existe pas et qui contient quand même quelques chaises droites qui n’existent toujours pas mais qui sont quand même installées en rond et sur lesquelles sont assises des personnes que je ne connais pas et qui m’encourage dans une quête qui m’est inconnue mais dans laquelle je m’engage à fond au péril de ma vie.
Ce nouveau mode de transport m’emmène donc à vivre plusieurs aventures quotidiennes que je ne raconterai pas toutes par respect pour les personnes que je peux rencontrer mais il y en a tout de même quelques-une de « racontables » dont je me permettrai de faire profiter le public qui, s’il ne s’est pas encore endormi au moment de lire ces lignes, ne se peut plus d’attendre pour tout connaître à ce sujet.

Après ma marche quotidienne du matin, quelquefois agrémenté d’une superbe attrapée de l’autobus au passage se poursuit dans les bas-fonds de la grande ville par une course-poursuite à travers deux lignes différentes de notre charmant métro. Tout d’abord, montrajet débute par une descente du nord au sud sur ce que les sites touristiques du monde entier appelle la ligne Orange. Les différentes étapes ou stations que l’on y rencontre sont souvent parsemées de différentes saveurs ou même épices. Vous savez, les épices, ça peut aussi bien être intéressant pour les sens que non-intéressant. Il y des fois de ces odeurs dont on se souvient à jamais mais qu’on voudrait à tout prixé Batinsse qu’y en a qui ont de la misère avec leur hygiène. J’imagine que je vais m’y faire mais je me devais d’en parler, ne serait-ce que pour en parler… La suite de mon aventure se poursuite ensuite sur la ligne est-ouest du sud qui n’est pas vraimenrt est-ouest et qui s’appelle plus communément la ligne verte. Prenez tout ce dont je viens de parler à propos de la ligne orange et multipliez-le par environ un peu plus et vous pourrez visualiser le résultat à travers vos pensées les plus intimes. C’est juste que je trouve la verte un peu plus nauséabonde que l’orange mais ce n’est que mon opinion.

Dans le métro, on retrouve aussi plusieurs « tartistes ». Pas le matin parce qu’il est beaucoup trop tôt pour cette race de monde mais en fin de journée, ça commence à grouiller un peu. Ce n’est pas toujours agréable pour les appendices auditifs mais quand même, on s’en sort pas, il faut se le taper. Vendredi en sortant à la station Jarry, il y en avait un qui se lamentait tellement fort qu’on l’entendait déjà sur le quai. Dans ma tête, je me suis offert pour prendre son micro et dieu sait que le chant n’est pas tout à fait ma tasse de thé et j’aurais pourtant cru entendre dans le fond d’un de mes tiroirs du cerveau un genre de : « Bravo Alain !». Encore des bravos internes. Je ne fournis plus moi là! Alors des fois je me dis que l’académie qui passe à la tivi n’est pas si pire que cela.

Je sais que je ne suis pas tellement mon plan de match mais je me dois à ce stade-ci de parler des individus qui se lovent sur les poteaux dans le métro tels des danseuses exotiques comme ils disent dans les télé-séries pour éviter d’autres termes que des jeunes pourraient entendre en lisant ces lignes. J’ouvre donc une autre parenthèse : ces derniers, les jeunes, ne pourront entendre ces lignes qu’en les lisant à voix haute. Valait mieux le préciser! Je referme donc la parenthèse. Donc, pour conclure en matière d’exotisme, je me permettrai seulement une simple suggestion pour tous ces loveurs de poteaux de métro. Les poteaux de métro, c’est commun donc ça n’appartient pas seulement à une personne mais à tous. Est-ce que j’entends d’autres bravos dans mes oreilles tout à coup?

Pour conclure, je dois avouer que mon travail de barman me plaît énormément. Les histoires que les gens racontent pour se rendre intéressant peuvent être incroyables. Disons que je trouve cela très intéressant.

Je lance donc pour vraiment terminer pour vrai le concours pour donner un nouveau nom au blogue que vous lisez présentement. Les suggestions sont attendues avant une date quelconque. Je ne sais pas vraiment quand à vrai dire. Comme grand prix, je propose toute ma reconnaissance. Pas pire comme concours, hein? Qu'est-ce que j'entends donc? Bravo peut-être?

J’attends donc vos suggestions,

Alain

1 commentaire:

Louchia a dit…

Comme ça tu ne voyages plus? Est-ce que tu travailles encore à la grande secte de l'impôt? Si tu es plus à la maison, est-ce qu'on va voir plus souvent ta douce moitié? (essai non déguisé pour te dire que je m'ennuie d'elle pis que j'ai pu de nouvelles!)

Nouveau nom de blogue...hum... je sais pas pourquoi, le Panthéron me vient tout de suite à l'esprit..non, quand même.

Au lieu de 20 000 lieux sur la route, 20 minutes en métro?