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Des fois, vaut mieux l'écrire que de le subir. Confucius

dimanche 2 septembre 2007

Par un beau dimanche après-midi

Samedi dernier (hier) avait lieu la nième édition de l'Omnium de golf des Balleux. Ce fut très relevé comme compétition comme en témoigne le nombre de participants; deux. Je pourrais mentir en disant que seulement la crème de la crème pouvait y participer et c'est pour cette raison qu'il n'y avait pas foule.

Je ne mentirai toutefois pas, ce n'est pas mon genre. La véritable raison de la rareté des joueurs à cet événement est probablement le manque de membres au sein de cette famille. Premièrement des Balleux, il n'en pleut pas. Dans la lignée de Maurice, il n'y a que mon frère Claude et moi qui suivent directement. Dans la génération suivante, Claude a eu deux garçons, Guillaume et Frédéric qui sont aussi en Abitibi. De mon côté, il y a Marilou, une quatre ans. On pourrait tricher en ajoutant les conjoints pour faire du nombre mais comme ma très chère mère et Chantal ne jouent pas, ni d'ailleurs Guillaume ou Marilou, on n'ajouterait que Valérie, la conjointe de mon frangin au lot de Balleux. Comme la délégation de l'Abitibi n'a pu se pointer, ça diminue encore un peu les possibilités de foule. Maurice et moi nous sommes donc prêter au jeu de la finale (puisque nous n'étions que deux) et avons donc foulé le magnifique parcours du club de golf Verchères samedi matin. Comme c'était un tournoi, le club nous a même fait partir seuls sans personne d'autres pour nous nuire. Enfin, j'ose le croire. Il faisait très beau et le rythme quoique lent (un flag bleu sur le Kart du Marshall nous l'a reconfirmé à plusieurs reprises tout au long de la journée) fut quand même agréable. Après neuf trous, mon père m'a alors déclaré le plus sérieusement du monde que je lui donnais un handicap d'un coup par trous (ce qui signifie 18 à la fin de la journée selon de savants calculs de ma part et ce, sans même une calculatrice ou ou Excel à portée du doigt). Il m'en manquait donc déjà deux. Nous avons alors bataillé très fort jusqu'à la fin pour terminer (avec l'ajout de son handicap multiplié par mon calcul) avec trois coups de différence en sa faveur. La coupe est donc de retour à Verchères.

Je commence donc mon entrainement en vue de la prochaine édition dès maintenant. Quand il faut y aller, il faut y aller, disait un gars dans un très vieux film, je crois avec Terrence Hill! À l'an prochain donc, Momo! Et le message est par le fait même lancé aux adversaires de l'Abitibi. Soyez-y donc vous aussi!

Réponses

Je n'ai jamais eu autant de commentaires suite à un article que celui de jeudi soir dernier concernant un certain 5@7. Rectifions donc les faits:

  • Réponse à Amos: Saches qu'en plus de nos parents qui vivent à Verchères, il y a aussi Réjeanne (non pas notre tante, une autre) qui se trouve à être la mère ainsi que chum de la nôtre ou compagne de marche ou du déjeuner du jeudi, de mon ancienne collègue de travail Colette (non pas notre tante encore qui prend aussi des marches avec notre maternelle ainsi que la Réjeanne précédemment mentionnée ainsi que plusieurs autres, mais bien une autre).
  • Réponse au Chaperon non pas rouge mais de Montréal ainsi qu'à Amos encore : Merci pour vos réponses à ma questions sur le hockey. Ça confirme certains de mes doutes et ajoutent aussi certains atouts à mes cordes. Numéro 24 des Canadiens de Montréal : Mickey Redmond, Chuck Lefley, Lyle Odelein et Who Cares (lui, je ne l'ai toutefois pas connu par zemple).
  • Réponse à anonymous et irréductible (que je n'ai toujours pas replacé) anonymous quant à elle est née à Verchères je crois mais actuellement dans le 450 du nord : Pour ce qui est de la bière que Peck, alias Montréal maintenant Laval, me doit. Elle est bien notée dans ma tête, l'est-elle encore dans celle de Peck? C'est une autre histoire.
  • Réponse à moi-même qui se pose tout le temps des questions : tu es jeune encore Alain et un jour tu trouveras la réponse.
Je parlais d'un beau dimanche après-midi, hein? Après une visite au marché Jean-Talon avec un paquet de sacs au retour, mous avons bifurqué vers le parc Ahuntsic pour faire gaspiller un peu d'énergie à la quatre ans de la famille. Ça a très bien marché. Elle dort depuis près d'une demie heure peut-être même un peu plus.

Le week-end tire à sa fin. Plus qu'un petit lundi à se pogner le beigne et ce sera le retour au travail. Grosse semaine en perspective! :)

Je vous tire donc ma révérence pour ce soir et faites attention pour ne pas la recevoir en pleine face, car ça pince un peu!

Alain

2 commentaires:

Anonymous a dit…

Je crois qu'irr�ductible est un maudait francais... mais tout de m�me fort sympathique... sauf le lundi !

Anonymous a dit…

Un coup par trou !! C'est du handicap en ta . . . Me semble que tu viens d'ouvrir une brèche dans les relations père-fils. T'imagines-tu ce que l'orgueil de notre père a dû endurer lorsque tu as accepté pareil écart. Hum, services psychologiques requis à l'horizon. . . ou ailleurs.

Et, si toi tu consens un coup par trou, combien moi, je devrai en concéder ??? Hein ?

Ah et autre chose. Dans ton profil tu dis être un gars bin ordinaire (ce qui est absolument vrai), et tu ajoutes que tu ne connais pas l'auteur de ces paroles. C'est Robert Charlebois, du temps où il buvait la bière et ne faisait pas d'argent avec.

Ce n'est rien. Ça fait plaisir !

Ciao !

Réponse à la question posée plus haut : 0,5. Ah, ah !