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Des fois, vaut mieux l'écrire que de le subir. Confucius

mardi 11 septembre 2007

11 septembre, 6 ans plus tard!

Un peu trop claqué pour écrire mais comme il me vient tout à coup une pensée, j'ai songé que je devais la partager.

C'était il y a six ans, nous étions à cette heure tous et toutes consternées par les images que nous avions vues et revues en boucle pendant toute la journée. Les "twin towers" ou plus communément appelé World Trade Center s'était écroulé sous nos yeux, attaqué par des avions de ligne.

À New York, en plein jour et au beau milieu de l'heure de pointe locale. Tout s'est alors arrêté à New York et un peu partout alentour en banlieue jusque vers Montréal je dirais. Peut-être même Laval! La terre s'arrêtait donc de tourner ici en Amérique!

Impensable à aller jusque vers le 10 septembre 2001. Nous faire cela à nous, américains (j'inclus ici aussi les quelques 33 millions de canadiens et les 107 millions de mexicains puisque ce continent n'appartient pas seulement aux amérécains comme ils disent),et chez nous en plus! Non , mais ça prends-tu des, comment je dirais donc, des terroristes pour faire des affaires de même? Qu'ils se détruisent en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient ou à la limite en Europe, ça peut toujours aller, mais chez nous, ça nous a dérangé un peu. Choqué même, je dirais. Comme s'il y avait une barrière, totalement imaginaire en fait, que l'on croyait érigée quelque part dans l'Atlantique et qui nous protégeait de tout cela. Fallait-il être assez innocent pour penser ainsi? C'était sans compter sur Bin Laden et sa gang! Il a tout de même réussi à avoir notre attention ce sacré Oussama. Comme philosophe, il existe probablement moins violent mais je dirais que le résultat fut quand même réussi! En tout cas, j'y ai pensé hier à l'aéroport de Rouyn pendant que je me penchais pour remettre mes souliers après que la poêlonne qui vérifie si on fait bip quand elle passe partout sur notre corps soit passé et qu'elle ait constamment bippé parce que j'ai trop de plomb dans l'aile, probablement!

Et pendant ce temps, des journalistes nous prouvent que la frontière est une vraie passoire! Est-ce moi qui hallucine ou quoi? Je me fais fouiller en partant de Rouyn pour Montréal, ce qui est assez local je pense et n'imprte qui se promène d'un bord à l'autre de la frontière sans aucun problème! Je ne comprends juste pas. Est-ce que nos priorités seraient par hasard aux mauvais endroits? Peut-être que comme société on préfére se surveillés nous-même pendant que nos viaducs et ponts s'écroulent tranquillement sous nos yeux ou qu'on discute en dépensant beaucoup trop d'argent des accomodements raisonnables. Continuons donc d'accomoder tout le monde, ça nous fera plus de monde à surveiller! La poule ou bien l'oeuf?
Qui est venu en premier?

Je retourne à mon "James Patterson", lui au moins il ne fait pas trop se poser de questions à ses personnages qui savent agir promptement comme je l'aime.

Bye là,

Alain

1 commentaire:

Anonymous a dit…

Ouille, wow, ouf ! Qu'entends-je, qu'ouïe-je, qu'accousticais-je ? Un édito ? Une chronique ? Un essai ? Le début d'un roman ? Un mémoire à la commission sur les dérangements raisonnables ?

Berf, un larme a perlée sur ma douce joue !

Salutations bien basses frérot.

Ton fré !